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Enfait mon stage commence en janvier et je me dis que rechercher un stage 6 mois Ă  l'avance ne servira Ă  rien. L'entreprise verra que c'est pour dans 6mois, elle mettra le cv de cĂŽtĂ© et l'oubliera Ă  jamais :mrgreen: J'ai peut-ĂȘtre tort apparemment donc je pense que je vais tout de mĂȘme commencer Ă  postuler. Traductionsde expression COMBIEN DE TEMPS À L'AVANCE du français vers anglais et exemples d'utilisation de "COMBIEN DE TEMPS À L'AVANCE" dans une phrase avec leurs traductions: Combien de temps Ă  l'avance faudrait-il soumettre ces renseignements? Combiend’avance pour l’Europe? Pour l’Europe, c’est plus prĂšs de 5 mois d’avance, pareil pour l’Asie. Mais attention. Ça c’est pour Ă©conomiser un peu sur le prix rĂ©gulier (disons payer 1000$ au lieu de 1400$ pour aller en ThaĂŻlande). Combien de temps faut-il 21.1 Combien de temps conserver le tiramisu dans le congĂ©lateur; 2.1.2 Comment dĂ©congeler le tiramisu; 2.1.3 Alternatives Ă  la congĂ©lation du tiramisu; 3 RĂ©sumĂ©; 4 questions connexes. 4.1 Est-ce important que le tiramisu soit fait maison ou achetĂ© en magasin? 4.2 Combien de temps faut-il pour dĂ©congeler le tiramisu du congĂ©lateur? U8q5. Le tiramisu est un dessert italien trĂšs apprĂ©ciĂ© par de nombreuses personnes. Vous vous demandez peut-ĂȘtre si ce dessert peut se conserver ? Nous avons la rĂ©ponse pour vous ! En effet, il peut parfois arriver d’avoir des restes de tiramisu, ou bien de vouloir en rĂ©aliser un Ă  l’avance pour une occasion qui approche. Alors, si vous vous trouvez dans ce cas, rien de trĂšs compliquĂ© vous devrez congeler votre dessert. Dans un premier temps il faut savoir qu’un tiramisu est un dessert qui se congĂšle plutĂŽt bien. Vous n’avez donc aucune peur Ă  avoir quant Ă  la congĂ©lation de votre dessert favori. Il ne perdra ni sa saveur, ni sa texture en passant au congĂ©lateur et vos invitĂ©s ne sauront mĂȘme pas qu’il a Ă©tĂ©, Ă  un moment, congelĂ©. Comment congeler du tiramisu ? Vous devrez d’abord tenter d’enlever un maximum de poudre de cacao qui est gĂ©nĂ©ralement saupoudrĂ©e en grande quantitĂ© sur le dessus du gĂąteau. Enroulez ensuite hermĂ©tiquement votre tiramisu dans du film Ă©tirable. N’hĂ©sitez pas Ă  dĂ©couper des parts dans votre dessert si vous n’ĂȘtes pas sĂ»r de pouvoir le consommer en une seule fois une fois dĂ©congelĂ©. Une fois serrĂ© dans le film alimentaire, placez le dans du papier aluminium, pour amĂ©liorer encore le cĂŽtĂ© hermĂ©tique de votre emballage. N’oubliez pas de dater votre emballage pour savoir Ă  quelle date vous avez congelĂ© votre dessert prĂ©fĂ©rĂ©. Ces Ă©tapes suffisent Ă  pouvoir congeler, directement aprĂšs, votre tiramisu. Attention, en ce qui concerne les tiramisus achetĂ©s au magasin certains ne peuvent pas ĂȘtre congelĂ©s. Veillez donc Ă  surveiller l’étiquette du produit avant de placer ce dessert au congĂ©lateur. Comment dĂ©congeler du tiramisu ? Si vous souhaitez dĂ©guster le tiramisu que vous aviez placĂ© au congĂ©lateur, rien de plus simple. Mettez le plat dans lequel vous avez effectuĂ© votre dessert au rĂ©frigĂ©rateur pendant quelques heures. L’idĂ©al serait de l’y laisser toute la nuit pour qu’il retrouve tranquillement son conditionnement initial et qu’il remonte doucement en tempĂ©rature. Cette dĂ©congĂ©lation lente prĂ©servera les saveurs et la texture de votre dessert. Ensuite, dĂ©gustez-le. Si vous aviez congelĂ© un tiramisu qui n’était pas encore fait – c’est-Ă -dire que vous aviez prĂ©parĂ© Ă  l’avance spĂ©cialement pour qu’il soit prĂȘt au moment d’un futur Ă©vĂšnement – n’oubliez pas d’ajouter un petit peu de cacao en poudre sur le dessus avant de le manger. Vous pouvez aussi y ajouter quelques noix. Cette mĂ©thode de dĂ©congĂ©lation lente est la seule que vous pouvez utiliser pour dĂ©congeler un tiramisu. Combien de temps conserver un tiramisu au congĂ©lateur ? Les Ă©tiquettes que vous collerez sur l’emballage de congĂ©lation vous permettront de savoir Ă  quelle date vous avez mis votre dessert au congĂ©lateur. Il faut savoir qu’un tiramisu peut ĂȘtre conservĂ© environ 3 mois s’il Ă©tait frais avant sa congĂ©lation, ou s’il avait Ă©tĂ© achetĂ© au magasin, puis ouvert. Sinon, s’il est prĂ©-emballĂ© ou qu’il n’a pas Ă©tĂ© ouverte, il peut ĂȘtre conservĂ© jusqu’à 4 mois au congĂ©lateur, sans que son goĂ»t ne soit altĂ©rĂ© par le froid. Sa texture, cependant, peut-ĂȘtre modifiĂ©e par le congĂ©lateur. C’est pourquoi il convient de ne garder votre tiramisu que 4 semaines au congĂ©lateur si vous souhaitez que les biscuits qui le composent ne soient pas dĂ©trempĂ©s. Quelques conseils quant Ă  la congĂ©lation du tiramisu D’abord, il faut savoir que le tiramisu doit ĂȘtre congelĂ© dans la journĂ©e suivant sa rĂ©frigĂ©ration pour ne pas perdre toutes ses saveurs et sa texture. De plus, puisque le tiramisu ne se recongĂšle pas aprĂšs une premiĂšre sortie du congĂ©lateur, vous devrez veillez Ă  ne dĂ©congeler que les parts que vous souhaitez rĂ©ellement consommer. En effet, l’alcool et le lait qui composent ce dessert sont des produits assez difficiles Ă  congeler, en eux-mĂȘmes. Alors, tenter de recongeler votre tiramisu une seconde fois ne fera que l’altĂ©rer davantage. Ainsi, si vous ĂȘtes seul ou deux, vous devriez donc pour vous faciliter la vie congeler vos parts de tiramisu directement dans diffĂ©rents petits contenants. Cela vous permettra de ne sortir qu’un petit contenant – dans lequel vous aurez mis seulement une part ou deux – plutĂŽt que de sortir un gros plat, et voir le tiramisu se perdre si vous ne mangez pas tout. Emballer chaque part de votre tiramisu individuellement peut paraitre fastidieux mais sera au final bien pratique.  AprÚs la génoise, on continue avec avec une autre pùte battue la pùte à biscuit cuillÚre, la différence est mince puis quñ€ℱici, contrairement à la pùte à génoise, on bat les blancs et les jaunes séparément. La pùte est généralement composée dñ€ℱune grande quantité de blancs dñ€ℱoeufs montés à froid et serrés au sucre auxquels on ajoute des jaunes dñ€ℱoeufs, de la farine, parfois du cacao, du cafĂƒÂ©Ăąâ‚ŹÂŠ Ce biscuit sñ€ℱutilise comme base dñ€ℱentremets comme la charlotte, mais aussi de biscuits glacés, de bûches et autres petits gùteaux. Lñ€ℱhistoire  les premiers biscuits datent du moyen-ùge et leurs noms sont alors associés à des villes biscuits de Reims, biscuit de Savoie. En bonne savoyarde je ne résiste pas à vous raconter à nouveau lñ€ℱhistoire du fameux biscuit de Savoie, le premier gros gùteau connu, offert en 1358 à la cour de Chambéry par le Comte Amédée VI de Savoie, le Comte Vert qui recevait à sa table son suzerain Charles IV de Luxembourg empereur du Saint-Empire la Savoie nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tant pas encore française. Amédée VI demanda à son pùtissier Pierre de Yenne de créer un gùteau la ville de Yenne serait le berceau de la recette léger comme une plume. Pierre eut lñ€ℱidée de battre longuement des jaunes dñ€ℱoeufs et du sucre et dñ€ℱajouter de la farine et des blancs dñ€ℱoeufs montés en neige. Il mit ensuite sa préparation dans un plat en bois les fours nñ€ℱayant pas de réglages. Le bois, mauvais conducteur de chaleur, permet une cuisson plus douce et donne à la pùte le temps dñ€ℱacquérir sa légendaire légÚreté. Pour la petite histoire, cela ne suffit malheureusement pas à amadouer Charles IV qui était mécontent de son AprÚs la Révolution, deux pùtissiers parisiens, Benaud et Tavot, eurent lñ€ℱidée de remplacer la farine par de la fécule, rendant ce gùteau encore plus léger. Un moule spécifique est attaché au Gùteau de Savoie, la Varenne lñ€ℱa évoqué ensuite au 17Úme siÚcle. Le nom biscuit à la cuillÚre vient de la façon de le dresser avant lñ€ℱapparition de la poche à douille vers 1850. Au XIXe siÚcle son emploi se généralise avec la création de charlottes par Antonin CarÃÂȘme. La composition du biscuit sñ€ℱaméliore avec Parmentier et lñ€ℱutilisation de la fécule de pomme de terre en remplacement dñ€ℱune partie de la farine. Et cñ€ℱest le pùtissier Antoine Charabot qui a créé la premiÚre bûche à base de biscuit à la cuillÚre en 1874. La réalisation Pour les ingrédients et leurs propriétés reportez-vous à lñ€ℱarticle sur la génoise Peser les ingrédients avec précision et préparer tout le matériel dont vous aurez besoin pour la recette. 2/ Tamiser la farine, avec éventuellement la fécule, le cacao etc. 3/ Clarifier séparer les blancs des jaunes soigneusement les oeufs, il ne doit pas y avoir le moindre soupçon de jaune dans les blancs car cela les empÃÂȘche de monter correctement en freinant lñ€ℱabsorption dñ€ℱair et en limitant le foisonnement. Utiliser toujours des blancs à température ambiante. De toute façon tous les éléments dñ€ℱune recette doivent ÃÂȘtre à température ambiante en général. 4/ Monter les blancs à petite vitesse au début pendant 1 à 2 min pour les casser et favoriser le foisonnement puis augmenter progressivement la vitesse du batteur. Ajouter le sucre petit à petit et en plusieurs fois. 5/ Lisser les jaunes avec 1/5 du sucre prélevé sur la quantité totale de la recette pour les liquéfier et faciliter leur mélange, ils doivent ÃÂȘtre fluides. 6/ Incorporer les jaunes directement dans la cuve des blancs sans trop travailler le mélange pour éviter un affaissement de la masse. 7/ Ajouter délicatement la farine tamisée à lñ€ℱaide dñ€ℱune maryse ou éventuellement dñ€ℱune écumoire. 8/ Coucher lñ€ℱappareil immédiatement à lñ€ℱaide dñ€ℱune spatule coudée sur un flexipat ou le dresser à la poche selon lñ€ℱutilisation finale. 9/ Pour obtenir des biscuits cuillÚre perlés, les saupoudrer deux fois de sucre glace à quelques minutes dñ€ℱintervalle. 9/ Cuire à chaleur tournante à 210° 10 à 12 min pour les biscuits fins et à 220° pour les biscuits épais à adapter en fonction de votre four. 10/ Débarrasser sur grille pour éviter que la pùte ne sñ€ℱhumidifie. 11/ Utiliser rapidement ou congeler. La recette et les dérivés La recette de base classique pour 1 kilo de produit fini 300g de blancs dñ€ℱoeufs, 200g de jaunes dñ€ℱoeufs, 250g de sucre possibilité de diminuer en fonction des goûts, 250g de farine. Biscuit de Savoie pour 900g de produit fini à cuire en moule beurré sucré 250g de blancs dñ€ℱoeufs, 150g de jaunes, 250g de sucre à moduler, 250g de farine. Biscuit à rouler léger pour 850g de produit fini  300g de blancs dñ€ℱoeufs, 200g de jaunes dñ€ℱoeufs, 250g de sucre possibilité de diminuer en fonction des goûts, 100g de farine. Biscuit cuillÚre au chocolat  pour 1 kilo de produit fini 300g de blancs dñ€ℱoeufs, 200g de jaunes dñ€ℱoeufs, 250g de sucre possibilité de diminuer en fonction des goûts, 225g de farine, 25g de cacao poudre. Biscuit chocolat sans farine pour 550g de produit fini 180g de blancs dñ€ℱoeufs, 140g de jaunes dñ€ℱoeufs, 185g de sucre, 50 de cacao poudre. Biscuit à la pistache pour 700g de produit fini 225g de blancs dñ€ℱoeufs, 115g de jaunes dñ€ℱoeufs, 150g de sucre, 100g de farine, 100g de bonne pùte de pistache. Ajouter la pùte de pistache en mÃÂȘme temps que les jaunes dñ€ℱoeufs. Biscuit au cassis  pour 600g de produit fini  125g de blancs dñ€ℱoeufs, 80g de jaunes dñ€ℱoeufs, 100g de sucre + 10g, 115g de farine, 190g de jus de cassis. Cuire à 103° le jus de cassis avec les 100g de sucre. Refroidir légÚrement et verser sur le blancs dñ€ℱoeufs montés et serrés avec les 10g de sucre. Ajouter les jaunes dñ€ℱoeufs puis la farine tamisée. Mais aussi sur le blog, les biscuits cuillÚre traditionnels ou le biscuit de Savoie rapide et peu sucré. A suivre dñ€ℱautres biscuits classiquesñ€© Source lñ€ℱexcellent ouvrage, indispensable pour tous les passionnés, en 2 imposants volumes de Denis Herrero et Germain Etienne  Pùtisserie les clés de la réussite .Un peu des coulisses du tournage Au fil des tours de parc lors de mes marches matinales le jour se lÚve petit à petit Le week-end tout est calme les oies profitent de tous les espaces du chùteau , en semaine pour fuir lñ€ℱagitation elle se réfugient prÚs des piÚces dñ€ℱeau et loin de la tente. Devinez le thÚme de cette émissionñ€© Ou de celle-ci ! AprÚs les dégustations et avant le verdict une petite sieste sñ€ℱimpose ! Interview journaliÚre de Cyril Jñ€ℱattends tranquillement mon tour au soleil sur la terrasse  Marronniers en fleursEnjoy et à suivre Vous aimerez peut ÃÂȘtre Forum Bulgarie DerniĂšre activitĂ© le 20/06/2021 Ă  1328 FormalitĂ©s Bulgarie Sofia Signaler tiramisu_27 Le 20 juin 2021 faire un test PCR Ă  Sofia?Faut il prendre rendez-vous ?Quel est le prix approximatif ?Combien de temps pour avoir le rĂ©sultat ?Merci d'avance pour vos rĂ©ponses. HÔTELS Besoin d'Ă©vasion ? RĂ©servez votre hĂ©bergement dĂšs Ă  prĂ©sent LOCATION DE VOITURES Le plus grand service de rĂ©servation de locations de voitures au monde LOCATION DE VOITURES Location de voitures - Recherchez, comparez et faites de vraies Ă©conomies ! 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Deux craquements bien caractĂ©ristiques s'Ă©taient produit quelques fractions de secondes avant qu'il n'ait commencĂ© son action si ce n'Ă©tait pas Valentina qui venait de sauver son frĂšre, tant pis. Des cris de douleur fusĂšrent ensuite dans tous les sens, une odeur de chair brĂ»lĂ©e et de sang parvint jusqu'aux narines du loup-garou dĂ©jĂ  qu'il Ă©tait particuliĂšrement habituĂ© Ă  ces odeurs au sein de la mafia, sa nature de lycanthrope en avait fait une sorte de dĂ©tecteur Ă  laissant glisser dos au mur, il souffla longuement la magie c'Ă©tait nul en fait, ça fatiguait quand on abusait... Il avait beau avoir l'habitude, ĂȘtre assez entraĂźnĂ©, mais c'Ă©tait toujours frustrant de voir que l'on tombait comme une mouche en agitant un morceau de bois. Bon, les effets obtenus en valaient franchement la chandelle, mais il avait une sorte d'affinitĂ© pour les rencontres un peu plus "musclĂ©es". Ne se laissant pas aller plus que nĂ©cessaire, il se redressa, prĂȘt Ă  en dĂ©coudre avec toute personne qui monterait l'escalier pour venir lui chercher des noises... Sauf que cela n'arriva pas, ses sortilĂšges avaient Ă©tĂ© dĂ©vastateurs et tout le monde Ă©tait plus ou moins en train d'agoniser. Sauf peut-ĂȘtre le sbire lĂ  bas qui relevait dĂ©jĂ  sa baguette... Scios » grogna-t-il en rĂ©agissant au quart de se figea, une profonde entaille se formant brutalement le long de sa gorge. Il tomba raide mort en un temps record, tout en effectuant au prĂ©alable un concert de gargouillis trĂšs agrĂ©able Ă  l'oreille du russe. On ne faisait pas chier un mĂ©dicomage, non mais vraiment ! mĂȘme si thĂ©oriquement c'Ă©tait lui qui les avait attaquĂ©s alors qu'ils n'avaient rien demandĂ©s, mais lĂ  n'Ă©tait pas la question... L'imposant sorcier s'appuya ensuite sur la rambarde, ceci n'avait pas vraiment Ă©tĂ© favorable Ă  sa rĂ©cupĂ©ration d' dĂ©boula alors Ă  l'intĂ©rieur de la maison, accompagnĂ©e par son frĂšre, bel et bien vivant, auquel l'italienne dĂ» demander d'aller voir comment se portait son "alliĂ©"... Grognant, il repoussa l'homme qui tenta de l'aider Ă  se redresser de la rambarde. Ne rechignant pas quand il insista c'Ă©tait pour la forme, quoi, le russe observa la blondinette s'approcher de son oncle et le laisser mourir Ă  petit feu. LĂ©on, le collait pour l'aider Ă  se tenir debout, bien que l'imposant sorcier ait des doutes concernant la capacitĂ© de l'homme Ă  pouvoir le retenir si ses jambes lui faisaient dĂ©faut. NĂ©anmoins, la bataille n'avait pas durĂ© et il se remettait petit Ă  petit, il faisait confiance Ă  son endurance acquise au cours des annĂ©es et de ses entraĂźnements intensifs quotidiens. C'est cruel de le laisser agoniser comme ça... »Valentina allait probablement rĂ©pliquer, mais il n'avait pas fini ...mais c'est plutĂŽt agrĂ©able Ă  regarder. »Il se tourna vers LĂ©on et ajouta, pour dĂ©tendre l'atmosphĂšre enfin, si c'Ă©tait possible Fais gaffe, hein, si elle continue, tu seras le prochain. Apparemment la famille c'est pas toujours aussi cool que ça... ça me rassure. »Ne pas connaĂźtre ses parents et toute la sphĂšre familiale lui allait parfaitement, surtout en voyant jusqu'oĂč Ă©tait allĂ©e Valentina pour un peu de pouvoir en plus. Bon, le russe avait fait quelque chose de similaire en Ă©liminant les gens en travers de sa route pour s'approprier la place de chef de son groupe mafieux, mais bon... il n'y avait pas d'aspect "familial" Ă  la autour d'eux, les hommes de bain de l'oncle dĂ©cĂ©daient de leurs blessures, ou n'allaient pas tarder Ă  le faire. Oh, bien sĂ»r que le mĂ©dicomage pouvait en sauver quelques uns... Mais il n'avait pas vraiment envie de dĂ©ployer des efforts pour si peu... Surtout que les tĂ©moins de cet assassinat risquaient davantage de poser problĂšme. Mieux valait les laisser crever. L'objectif est accompli... Je pense pas qu'il soit bon de s'attarder ici... Sauf si t'as encore des trucs Ă  faire. »Il n'aimait pas l'Italie, ou du moins cette Florence, c'Ă©tait trop "beau" comparĂ© Ă  ce qu'il se passait actuellement. Au moins la Russie, c'Ă©tait sombre, froid, pas trĂšs accueillant... Ça donnait une bonne ambiance pour les affaires mafieuses. LĂ , il y avait trop de soleil, d'oiseaux, de bonheur... Beurk. Megan K. HayajĂąnSerpentard Re Florence, la plus belle ville d'ItalieMegan K. HayajĂąn, le Jeu 27 AoĂ» - 1413 -Heartless-LA accordĂ©;____________________J pensais sincĂšrement Ă©prouver une pointe de culpabilitĂ©. Pourtant, alors que j'Ă©tais lĂ , la tĂȘte de mon oncle sur les genoux alors qu'il s’étranglait dans son propre sang, je ne ressentais rien. Vide. Il essayait de parler mais les mots ne sortaient pas. La voix de Rurik rĂ©sonna au loin. Une question de spectacle et de cruautĂ©. Il avait raison. Je devais l'achever. Je plantais mon regard dans le sien, noir. Je me rappelais les centaines de moments que j'avais passĂ© avec cet homme. Il m'avait recueillie, Ă©levĂ©e comme sa propre fille. M'avait enseignĂ© l'art de la manipulation, le pouvoir des informations. Lui et Georgio m'avait apprit Ă  me battre, Ă  utiliser la magie noire, Ă  devenir celle que j'Ă©tais. J'avais tuĂ© les deux. Ils avaient trop bien fait leur travail. Alors, lentement, je glissais une main sur la nuque de mon oncle, posant l'autre su son torse. Je devais le faire. Je savais qu'il savait que je devais le faire. LĂ©on nous fixait. Lui aussi avait comprit. D'un geste sec, je brisais la nuque de Daniel Boccini, le tuant instantanĂ©ment. - Riposa in pace. susurrais-je en reposant sa tĂȘte sur le carrelage souillĂ© de cendres et de sang. Je me relevais, Ă©poussetais lentement ma cape bien que cela soit inutile, et me retournais vers LĂ©on qui se tenait droit et fier. Il dĂ©laissa Mkrovsk et redescendit, me rejoignant donc. Il posa sa main sur mon Ă©paule, fixant de ses yeux couleur Ă©bĂšne le corps dĂ©sormais sans vie de notre oncle. Une simple coquille. Je me dĂ©tournais, rien ne servait de le contempler plus. C'Ă©tait fait et dĂ©sormais, nous avions les richesses pour nous. L'or et le manoir pour lui et pour moi... L'objectif est accompli... Je pense pas qu'il soit bon de s'attarder ici... Sauf si t'as encore des trucs Ă  faire. »-Tu as raison. Sortons que je puisse faire brĂ»ler cette villa de malheur. C'est ce que nous fĂźmes d'ailleurs. Le russe nous rejoignit et nous prĂźmes tous les trois le chemin du jardin. Il n'y avait plus Ăąme qui vive dans cette maison. MĂȘme le chien de garde Ă©tait mort. Je regardais sombrement le mafieux russe. Il ne semblait pas Ă©prouver de regrets, et c'Ă©tait parfait; car maintenant, nos deux branches s'Ă©taient plus ou moins liĂ©es. Des alliances pourraient naĂźtre et ce n'Ă©tait pas si mal. Nous faisions une relativement bonne Ă©quipe. LĂ©on posa son bras que mon Ă©paule mais je ne dis rien, malgrĂ© les frissons que me donnĂšrent ce contact. Nous nous Ă©tions haĂŻs pendant vingt quatre ans, j'Ă©tais encore troublĂ©e par nos rĂ©centes rĂ©conciliation. Quand nous fĂ»mes tous dehors, le portail passĂ©, je jetais d'un coup de baguette un sort incendiaire, et l'habitat prit feu plus vite que la paille. Je restais un instant ici, stupide, Ă  contempler la villa italienne mourir dans les flammes, les corps brĂ»ler, le bois flĂ©trir. Puis j'attrapais la main de LĂ©on. -Rurik, si tu veux boire ou manger quoi que ce soit avant de rentrer, on sera sur le manoir, Ă  flanc de colline, au nord. Sinon... a plus. J'inclinais simplement la tĂȘte pour le saluer avant de disparaĂźtre, mon frĂšre avec moi, dans un plop ! parfaitelent audible. [Fin du RP] Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Lun 1 AoĂ» - 2136 La magie des moldus est Ă©gale Ă  54RP privĂ© avec LĂŻnwe FelagĂŒndOlivia Bonda pratiquait la magie. Mais pas avec une baguette, non, c'Ă©tait une moldue mariĂ©e avec un sorcier. Elle Ă©tait toujours en vie et avait Ă©tĂ©, par le passĂ©, une magicienne de petite renommĂ©e. Elle faisait d'impressionnants tours de cartes et avait appris tout ce qu'elle savait Ă  sa petite fille, Alice, qui observait les cartes voler dans les vieilles mains aux gestes jeunes avec autant d'admiration que devant une dĂ©monstration de patronus de son grand-pĂšre. Peu Ă  peu, Ă  force de la regarder et de rĂ©pĂ©ter longuement les gestes, elle apprit comment Ă©tonner, Ă©merveiller, bref, faire des tours de carte aussi bien qu' pouvait appeler ça une crise d'adolescence? C'Ă©tait l'Ă©tĂ©, la serdaigle savait se dĂ©brouiller seule Ă  prĂ©sent. C'Ă©tait le moment rĂȘvĂ© de faire des expĂ©riences, d'affronter le monde, de tester ses limites. Un question lui avait trottĂ©e dans la tĂȘte tout le long de l'annĂ©e scolaire qu'elle avait passĂ©e Ă  Poudlard. EntourĂ©e de magie, elle connaissait aussi bien le monde des moldus, ayant un pĂšre sans pouvoirs magiques. Sans la magie, qu'Ă©tait-elle? Serait-elle capable de vivre sans utiliser Sky, sa baguette en bois de sorbier? Pouvait-elle se dĂ©brouiller en se privant de cette force en elle? Peu Ă  peu, ce dĂ©sir de savoir ce qu'elle valait sans magie s'Ă©tait transformĂ© en dĂ©sir secret de vĂ©rifier par elle-mĂȘme. Alors, aprĂšs s'ĂȘtre arrangĂ©e pour que sa famille la croit partie en vacances chez des amis en Italie, la sang-mĂȘlĂ©e avait rassemblĂ© ses affaires dont plusieurs paquets de cartes et un peu d'argent dans son sac noir habituel, cachĂ© sa baguette dans sa chambre et quittĂ© la ville française de Saint-Etienne pour l'Italie en avion, payĂ© par sa mĂšre. Comme elle l'avait craint, elle s'Ă©tait immĂ©diatement sentie vulnĂ©rable sans sa baguette. Il Ă©tait temps qu'elle apprenne Ă  s'en passer, au cas ou. Et surtout savoir ce qu'elle Ă©tait capable de faire deux semaines de vagabondage, elle avait atterrit Ă  Florence. Evidemment, la sorciĂšre aux yeux noirs avait appris la langue, et tout ses jours passĂ©s dans le pays des spaghettis l'avaient fait progresser. Sans aucun repĂšre, suivant les panneaux et ses pieds, elle faisait des reprĂ©sentations tout les jours, illĂ©galement puis lĂ©galement, se payant une place lors des marchĂ©s ou sur des lieux publics, abaissant sa casquette aprĂšs chaque sĂ©rie de tours. En vĂ©ritĂ©, elle s'en sortait bien, pouvait utiliser son billet de retour quand elle le voulait et complĂ©tait ses besoins avec ses Ă©conomies qu'elle avait emportĂ©es, mĂȘme si les maisons abandonnĂ©es Ă©taient souvent son toit. Mais c'Ă©tait grisant, d'ĂȘtre libre, totalement libre, et de faire ce qui lui plaisait. Les regards Ă©tonnĂ©s des enfants et des adultes devant ses mains n'avaient pas de prix. C'Ă©tait le belle vie, et elle n'Ă©tait pas Ă  un vieux sommier prĂšs, dormir Ă  la belle Ă©toile en Ă©tĂ© n'Ă©tait pas la voici Ă  Florence, en train d'exĂ©cuter un tour maintes fois rĂ©pĂ©tĂ© devant une vingtaine de personnes, des touristes pour la plupart. AprĂšs quelques manipulations, elle Ă©tala les cartes sur la table d'un geste ample et en saisit une qu'elle dĂ©signa Ă  l'homme qui hocha la tĂȘte, intriguĂ©. Les spectateurs Ă©taient tout aussi Ă©tonnĂ©s que Come hai fatto?! Qual Ăš il trucco? lança quelqu'un."Comment avez-vous fait?! Quel est le truc?"AprĂšs un sourire Ă©nigmatique, Alice commença un autre tour. Une nouvelle journĂ©e commençait sous le ciel aujourd'hui bleu d'Italie. AprĂšs, elle aurait assez pour se payer une des spĂ©cialitĂ©s locales... si elle travaillait bien et que les passants se montraient gĂ©nĂ©reux. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Jeu 4 AoĂ» - 1809 [PV Alice]Se balader dans les rues Ă©toilĂ©esd'un ciel bleu sans Ă©caillesni balafres gambader dans les ruesĂ  la merci de toutes ces gensvivre heureux l'espace d'un instantinstant de paixĂ  est neuf heures et quart. Les cloches rĂ©sonnent dans les ruelles de la citĂ©. Gloire d'Italie. BeautĂ© du pays. Neuf coups qui se rĂ©percutent entre les murs de cette ville. Tout est clair, tout est lumiĂšre. Les bĂątissent faites de pierres blanches, de marbre et de tuiles rousses. Donnent Ă  cette Ăźlot de granit, une unitĂ© certaine. Le soleil Ă©tait dĂ©jĂ  haut dans le ciel, soucieux de son rĂ©veil. Il illumine la place, le Pont Vecchio et les statues de Thrace. Leurs tracĂ©s en disent long. Tailleurs de pierretalent de pierrecrĂ©ateur de pĂšresqui donnent vie Ă  ces profitait de ses plus belles vacances. Et de loin. L'Italie Ă©tait un pays magnifique. L'architecture, les plats typiques, les mƓurs, la musique, l'art et la parole. Oui, cette belle parole. DotĂ©e d'une langue Ă©ternelle. MĂ©lodieuse et dansante qu'on en oublierait bien trop vite le texte. C'est ça. L'Italie. Pas besoin d'enchantements pour qu'elle soit magique. Une dolce vita comme on en rĂȘve. Aujourd'hui, les FelagĂŒnd exploreraient les entrailles de Florence, capitale de Toscane. Le pĂšre leur avait dit de rester discrets puisqu'ils feraient d'abord des visites Ă  la moldue pour ensuite frĂ©quenter les quartiers sorciers dissimulĂ©s. Le garçon avait hĂąte de dĂ©couvrir cette face cachĂ©e. Jouer aux cartes pour mieux se dĂ©lecter. L'une retournĂ©e, l'autre dĂ©vouĂ©e. L'aventure Ă©tait un jeu. Un jeu sur lequel il fallait oser se sacrifier. La Ă©tait non seulement rĂ©putĂ©e pour son essor Ă©conomique mais aussi pour son statut artistique affluant. C'Ă©tait l'une de ses villes aussi visitĂ©es que la capitale elle-mĂȘme. Pour cause, la foule se chahutait sur la grande place. Et dans la foule, il y avait des sorciers, mĂȘlĂ©s aux touristes sans pouvoir quelconque. Peut-ĂȘtre celui de l'illusion. Comme cette jeune femme qui maniait les cartes avec tendresse et sagesse mais nous verrons cela plus tard. Revenons plutĂŽt Ă  cette foule en dĂ©lire. Il y avait cinq sorciers plutĂŽt discrets d'ailleurs, pas de capes ni d'apparats de guignols comme le remarquaient si souvent les moldus. Et il y avait un garçon, pas trĂšs heureux de se frotter aux autres. Mais heureux quand mĂȘme d'ĂȘtre lĂ , au cƓur de Florence. La famille s'Ă©tait fixĂ© comme objectif de se retrouver Ă  l'Ă©glise, situĂ©e de l'autre cĂŽtĂ© du pont. De l'autre cĂŽtĂ© de la place. Tentant dĂ©sespĂ©rĂ©ment de fuir cette marĂ©e humaine, l'irlandais n'attendit pas plus longtemps pour se frayer un chemin sur le cĂŽtĂ©. Ainsi, il put profiter intelligemment de la vue. Voir des cheveux bruns, blonds, roux, bleus ou blancs devenaient lassants au bout d'un moment. En continuant de marcher, il vit un petit rassemblement, juste devant lui. Il y avait de ces moldus qui imitaient les sorciers. Se prenant pour des maĂźtres de l'illusion. Lui, pourrait bientĂŽt en devenir un. Un vrai. C'Ă©tait cette jeune femme mentionnĂ©e un peu plus haut. D'un geste de la main, elle Ă©patait toute la galerie. Ce fut bientĂŽt au tour de LĂŻnwe d'ĂȘtre le VIP du nouveau tour de cartes. Buongiorno. » dit-il tout content de trouver un adversaire de jeu. Hmm... vorrei giocare con lei... ? » ajouta-t-il en hĂ©sitant. Il ne parlait pas du tout italien, alors il faisait avec le peu d'expressions qu'il avait dĂ©jĂ  entendues. Il recollait les morceaux et ça devenait un truc Ă©trange. Comme la musique contemporaine. On ne comprend pas grand chose. Mais c'est la philosophie du compositeur et l’élaboration de la piĂšce qui comptent. Les esprits changent la crĂ©ation. Lui, essayait souvent de se faire comprendre par les gestes. Et l'Ă©glise trouduc ?Oarf. Plus Ă©dition par LĂŻnwe FelagĂŒnd le Ven 19 AoĂ» - 2123, Ă©ditĂ© 1 fois Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Jeu 4 AoĂ» - 1953 Toutes ces vies... toutes ces histoires... La diversitĂ© humaine impressionnait Alice, elle adorait voir du monde, se fondre dans la masse, s'en dĂ©tacher... des gens avec des points communs, mais tous diffĂ©rents, avec leurs sentiments bien Ă  eux, leurs façons de voir les choses... ou non. Elle avait bien fait de partir. Elle avait put faire des rencontres depuis son dĂ©part. Des gens gentils, heureux. Des gens du voyage aussi. D'un cĂŽtĂ©, elle voulait passer le restant de ses jours avec eux, allant de villes en villes, faisant des tours, des rencontres, vivre par elle-mĂȘme et en mĂȘme temps en groupe, dans cette ambiance de chansons et de danses au coin du feux. D'un autre cĂŽtĂ©, elle ne pouvait pas ignorer la prĂ©sence d'une guerre qui se passait dans l'ombre et Ă©claterait bientĂŽt au grand jour. Tu vois. Tu en es capable. De vivre sans magie. Tu es rassurĂ©e? avais peur d'oublier tes origines, n'est-ce pas?J'en ai jamais doutĂ©!Pff... incapable de l'avouer Ă  toi-mĂȘme......Ton pĂšre... ton pĂšre moldu... tu crois qu'il serait fier de toi si tu apprends Ă  vivre comme lui?...Tu ferais mieux de tout exploiter. Ce pouvoir en toi qu'on tes camarades sorciers. N'oublies pas ta mĂšre pour te rapprocher de ton ne l'oublie pas... je voulais seulement savoir...Je sais, je sais. Je suis une voie dans ta tĂȘte aprĂšs rĂ©flexe, elle regarda l'heure sur sa montre. Ou plutĂŽt, celle de son pĂšre. La libertĂ©... c'Ă©tait grisant, mais ça pouvait donner le vertige. Qu'est-ce qu'elle ferait aprĂšs? Combien de temps resterait-elle dans la ville? Est-ce que sa mĂšre lui en voudrait si elle apprenait ou elle Ă©tait passĂ©e? La serdaigle avala sa salive. Il Ă©tait trĂšs peu probable qu'elle le dĂ©couvre... En mĂȘme temps, aprĂšs tout les lieux sordides dans lesquels elles Ă©taient allĂ©es...Tu lui as ne voulais pas qu'elle s'inquiĂšte. Et je ne voulais pas qu'elle m'empĂȘche de sang-mĂȘlĂ©e leva la tĂȘte. Ses mains s' garçon devait avoir douze... non, treize ans. Elle en avait vu, des couleurs de cheveux Ă©tranges depuis son arrivĂ©e ici, mais ceux-lĂ  n'avaient pas l'air d'ĂȘtre teints... il avait les cheveux blancs... enfin, blonds trĂšs clairs. Ce n'Ă©tait pas vraiment bizarre, mais c'Ă©tait la premiĂšre chose qu'elle remarqua chez vorrei giocare con voi... ?Il lui demandait si il pouvait jouer... avec elle? Cette foi, le sourire qui naquit sur ses lĂšvres Ă©tait malicieux. Ah, un dĂ©fi? Oui, elle prenait les choses comme ça, parce que le moment Ă©tait au jeux, Ă  la magie des moldus. Sa baguette lui manquait un peu, mais de moins en moins. On pouvait trĂšs bien s'en passer tant qu'on ne se frottait pas Ă  des sorciers, mĂȘme si au dĂ©but, elle pensait Ă  un sortilĂšge qui aurait put l'aider Ă  chaque situation. Mais Ă  quoi ce garçon voulait-il jouer exactement?- Gioca cosa? LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Ven 5 AoĂ» - 1822 Jouer de ses ses mains enclin Ă  tromper le de ses de leurs ongles bien limĂ©s, effleurent la peau d'une carte qu'on aurait retournĂ©e. Cette jeune femme Ă©tait trĂšs habile. Tous ses gestes Ă©taient calculĂ©s pour duper la galerie. Gagner des du pain, pour ce garçon lui avait demandĂ© de jouer. Montrer qui Ă©tait le plus talentueux des Ă  cette maĂźtresse d'illusion qu'elle avait aussi ses failles. Gioca cosa ? » demanda-t-elle alors. Bonne question. Il n'y avait pas vraiment pensĂ©. Lui, il voulait jouer. Un point c'est tout. A quoi ? A combien ? OĂč ? Quand ? Il s'en moquait. Juste vouloir jouer. AprĂšs un long moment d'hĂ©sitation, il proposa de construire une pyramide avec le paquet de cartes. Deux paramĂštres s'ajoutaient Ă  ce jeu d'enfant. Une version sorciĂšre. Plus complĂšte. Plus difficile. Plus complexe. L'adversaire devait piocher trois cartes et les remettre dans le tas. Le bĂątisseur devra alors les superposer en dernier. Au sommet de la pyramide. Le tout, en un temps record. Puisque le deuxiĂšme joueur devra faire la mĂȘme chose juste aprĂšs.*Comment faire pour trouver les trois cartes piochĂ©es ? Un truc de sorcier. Qu'on apprenait Ă©tant petit. C'est pourquoi il avait une longueur d'avance. Ce n'Ă©tait pas tricher Ă  proprement parlĂ©. Mais tirer profit des rĂšgles, du contexte et des atouts posĂ©s lĂ  sur la table. Il Ă©tira un sourire, espĂ©rant que le dĂ©fi serait acceptĂ©. Allora ? »* forcĂ© de constater que c'est pas vraiment simple Ă  comprendre xD HĂ©site pas Ă  me MP. Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Sam 6 AoĂ» - 1310 LA de LĂŻnwe accordĂ©Et les spectateurs qui regardaient toujours, baladant leurs yeux de la jeune femme au coup de théùtre. Le spectacle continuait de toute façon, il prenait mĂȘme une tournure intĂ©ressante, un autre personnage entrait en scĂšne. La serdaigle entendit un touriste Anglaise souffler discrĂštement Ă  sa femme que c'Ă©tait sĂ»rement prĂ©vu. Pourtant non. Et c'Ă©tait bien comme ça. C'Ă©tait bien plus drĂŽle. Qui Ă©tait ce garçon qui s'incrustait dans sa prestation? Mais impossible pour Alice de refuser le dĂ©fi. Pourquoi pas d'ailleurs? Elle Ă©tait libre aprĂšs tout. Il lui parla d'un jeux sorcier qu'elle reconnut aussitĂŽt. Sans laisser la surprise se peindre sur son visage, elle tint un conseil dans son esprit avec sa petite voie en une fraction de c'est un sorcier?!Ce tour est irrĂ©alisable si on ne connaĂźt pas l'existence du monde magique. Il voulait piĂ©ger une moldue. C'est pas pour toi, tu es tombĂ©e sur une sixiĂšme annĂ©e de Poudlard. HĂąte de voir ta tĂȘte quand je un sourire de satisfaction, elle fit mine de ne pas connaĂźtre le jeux et le laissa le lui expliquer, se contentant de hocher la tĂȘte de temps Ă  autre. Il finit par un Allora ?Tu penses avoir gagnĂ© d'avance? Ah ah... quel dommage... Et si tu tirais partie de sa sĂ»retĂ©? Parie, il acceptera Ă  coup sĂ»r, comme il pense te battre...D'accord mais pas beaucoup, je veux pas le dĂ©pouiller, le pauvre. Remarque, j'ai pas besoin de monnaie... et si ça se trouve je vais perdre... et puis, je ne veux pas jouer contre lui pour de l'argent. c'est un dĂ©fi pur et tu veux...- Bene! sang-mĂȘlĂ©e lui proposa une chaise elle en amenait deux qu'elle gardait pour mettre Ă  l'aise un spectateur quand il participait avant de demander- Si vuole iniziare ?Le sorcier se passa une main dans les cheveux et regarda derriĂšre son Ă©paule avant de rĂ©pondre- SĂŹ , grazie. Si inizia ?Il est poli pour un de lancer tes piques. Il veut s'amuser, c'est tout...- sorciĂšre aux yeux noirs fit un Ă©ventail avec le paquet de cartes qu'elle lui prĂ©senta. Il en choisit trois avant de les remettre dans le tas qu'elle mĂ©langea avant d'Ă©taler sur la table. La montre de son pĂšre faisait chronomĂštre, aussi. Elle l'enleva, ce qu'elle n'aimait pas trop faire mais bon, il fallait bien que tout le monde voit qu'elle ne trichait pas, la posa sur la table et demanda Ă  un spectateur d'appuyer sur le bouton qui dĂ©clencherait le chrono avant de commencer Ă  les empiler sur le tapis. Ce jeux renfermait un choix dĂ©licat prendre le risque que la construction ne soit pas assez solide mais faire vite ou perdre du temps mais en disposant bien chaque cartes. Elle combina les deux. Respirant calmement malgrĂ© des gestes rapides et prĂ©cis, elle rĂ©ussit Ă  poser au sommet de ce qu'elle avait fait les trois cartes choisies. On arrĂȘta le chronomĂštre. Elle releva la tĂȘte et sourit Ă  son Quanto tempo ho messo ? LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Mar 9 AoĂ» - 1637 Les passants affluaient autour de la petite foire de fortune. Ils affluaient comme une mer et ses fleuves. Les quatre branches du rivage qui se joignent plus qu'en un seul. Ils affluaient comme un orage et ses nuages. Ses nuages qui dĂ©ferlent leurs pleurs sur la terre. Une plainte sourde et un Ă©clair. Pour Ă©gayer les esprits. Taire les conflits. Et rĂ©veiller nos Ăąmes meurtries. Et comme il Ă©tait agrĂ©able d'ĂȘtre ici. ObservĂ© comme un lion sans cage. Etre le jouet frivole de toute une assemblĂ©e. LĂŻnwe se plaisait Ă  faire le meneur de jeu. Les cartes lui rappelaient le temps oĂč il affrontait Leo Ă  Poudlard. Mais maintenant, il Ă©tait Directeur de Gryffondor et n'avait pas comme objectif de se dĂ©tendre avec un Ă©lĂšve. Quoi que ça pouvait s'arranger. La fille l'invita Ă  s'asseoir en face d'elle. Il accepta volontiers et lui proposa de commencer. Tirer les ficelles pour mieux les couper. Savoir dĂ©jouer les coups forts. Avancer ses pions. Anticiper ses mouvements. C'Ă©tait ce qu'Ă©tait en train de faire l'inconnue. Et LĂŻnwe resta effarĂ© l'espace d'une seconde. Comment pouvait-elle connaĂźtre l'astuce ? Elle effectuait de simples gestes. Amples et plein de sagesse. On aurait dit que c'Ă©tait elle, qui apprenait au FelagĂŒnd comment faire. Elle, qui avait insistĂ© pour le dĂ©fier. Valet de de cƓur. Sept de pique. Quanto tempo ho messo ? »Aww... Mer**.C'est une suis ton Intelligence. C'est une sorciĂšre. Hai messo un minuto e cinquantatre secundi. Bravissimo. » Le sang-mĂȘlĂ© regarda la petite montre avant d'acquiescer. Il lui restait donc plus que la montre. Jouer la montre. Rien de plus difficile Ă©videmment. Surtout avec le score qu'elle avait fait. Il l'intima Ă  choisir trois cartes et mĂ©langea sans trop d'effort le paquet. C'Ă©tait reparti. 1... 2... 3...Empiler les cartes comme des colonnes romaines. 33... 34... BĂątir ce temple des merveilles. Cette pyramide Ă©gyptienne Ă©tablie lĂ , prĂšs du Nil. Rivaliser avec l'ennemi. ClĂ©opĂątre contre CĂ©sar. 87... 88... Il arrivait au dernier Ă©tage avant d'approcher sa tĂȘte contre celle de la jeune femme. SorciĂšre ? » murmura-t-il malicieusement. Il prit le temps de la regarder bien dans les yeux. Arriverait-il Ă  dĂ©crypter la peur ou la joie de ce joli minois ? C'est ce qu'il lui fit perdre les quatorze secondes de trop. Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Mer 10 AoĂ» - 1044 Et oui, c'est bien les cartes que tu avais choisies qui sont sur le dessus de ce chĂąteau de cartes, non? La serdaigle regarda le sorcier se rendre compte de sa vraie nature, comprendre Ă  qui il avait affaire. Comprendre qu'il Ă©tait mal. Comprendre qu'il n'avait pas eu de chance de tomber sur la seule sorciĂšre qui passait pour une magicienne moldue de toute l' pour toi...Enfin, elle venait simplement de les mettre Ă  Ă©galitĂ©, si ça se trouvait, il Ă©tait plus douĂ© qu'elle avec les cartes... qui est trĂšs peu probable, ne t'en fais pas, tu as dĂ©jĂ  gagnĂ©. Prendre les autres Ă  leur propre piĂšge. Tu adores ça, hein?J'ai envie de dire... c'est lui qui a commencĂ©. Et ne sois pas trop sĂ»re de... de suspens Ă©tait insoutenable. Elle ne put s'empĂȘcher de compter les secondes qui la sĂ©paraient du verdict ce qui rendit ce cours laps de temps plus long Ă  ses Hai messo un minuto e cinquantatrĂ© minuti. Tu l'as de te la pĂ©ter!Je suis ton cĂŽtĂ© sombre augmentĂ©, Ă  l'Ă©tat pur. C'est normal que je me la pĂšte. Tu as dĂ©jĂ  oubliĂ©?Oh que non, Alice n'avait pas oubliĂ©. Enfin, ce n'Ă©tait pas le moment de se rappeler de mauvais souvenirs, pensons plutĂŽt au fait que... c'Ă©tait peut-ĂȘtre bien son meilleur temps. Il fallait croire qu'elle jouait mieux lorsqu'elle avait une motivation. Maintenant, c'Ă©tait Ă  son adversaire de jouer. Il manipulait bien les cartes, en effet. La sang-mĂȘlĂ©e avala sa salive. Il Ă©tait bien capable de la battre...Je croyais que tu te moquais de ton ego?La fiertĂ© et l'ego, c'est pas pareil, la Voie. Tais-toi c'est ce que je sais faire de moins bien... approcha son visage du sien et murmura- SorciĂšre?Et oui, sorciĂšre. DĂ©solĂ©e pour toi...Il la regardait droit dans les yeux. Elle en fut rassurĂ©e car ça lui fit perdre les quatorze secondes qui le sĂ©paraient de son score. Elle le savait avant l'annonce du score car elle prit soin de les compter tout en continuant de le fixer d'un regard de plus en plus Siamo spiacenti, si mette quattordici secondi piĂč que la foule ne se dissipe, elle tendit sa casquette et reçu pas mal de monnaie. Quand tout les spectateurs furent partis, elle s'adressa au garçon en Italien pour conserver le mystĂšre de sa nationalitĂ© mĂȘme si il pouvait facilement dĂ©celer son accent français- E sĂŹ, scusa, io sono una strega. Ma devo ringraziare voi, grazie a voi ho ricevuto un sacco di soldi. Condividiamo?*trad Et oui, dĂ©solĂ©e, je suis une sorciĂšre. Mais je dois te remercier, grĂące Ă  toi j'ai reçu pas mal d'argent. On partage?*Et en mĂȘme temps, elle comptait les piĂšces et tendit la moitiĂ© des gains. Rien que la moitiĂ© reprĂ©sentait deux de ses prestations habituelles. Ca lui faisait plaisir de lui donner ça, et en plus c'Ă©tait normal parce que, sans lui, le public ne se serrait jamais agrandit. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Sam 13 AoĂ» - 1357 DĂ©solĂ© du post tout pourri. Mais ça va dĂ©clencher les actions du lapin blancqu'on aurait trompĂ©cachĂ© dans son chapeaupour y venait d'ĂȘtre pris Ă  son propre jeu. Il avait voulu chasser. C'Ă©tait lui la proie. Il avait voulu gagner. C'Ă©tait lui le perdant. Il avait osĂ©. OsĂ© de jouer. Laisser gagner. DĂ©couvrir son nouveau jeu. Plus il construisait sa pyramide et plus les gens se rassemblaient autour. On aurait dit deux gladiateurs se battant pour la gloire. Et pour la vie. De leur empereur ou de leur propre personne. On aurait dit deux fauves lĂąchĂ©s dans cette arĂšne. Et les spectateurs qui commentaient, sans retenue et sans aucun scrupule. L'esclave avait perdu le populo quittait l'amphithéùtre de fortune tandis que la fille relevait la tĂȘte. E sĂŹ, scusa, io sono una strega. Ma devo ringraziare voi, grazie a voi ho ricevuto un sacco di soldi. Condividiamo? » s'exclama-t-elle en divisant le petit amas de piĂšces et de billets. C'Ă©tait un guerrier juste, au moins. Qui avait optĂ© pour la gloire et non la vie. Mais le gamin refusa d'un simple signe. Non j'n'en v-... non viglio... grazie. » Comme il Ă©tait parfois difficile de parler une langue qu'on ne connaissait mĂȘme pas. Parlatevi inglesi ? » demanda-t-il. Au moins, l'anglais Ă©tait universel. Enfin, normalement. Il ne connaissait pas tellement les coutumes de ce pays. Il Ă©tait peut-ĂȘtre basĂ© exclusivement sur une culture introvertie. Puis-je t'inviter Ă  marcher ?... Et Ă  prendre une... » il rĂ©flĂ©chit un instant avant de poursuivre. Une glace ! Oui, c'est bien une glace. » ajouta-t-il en affichant un sourire franc. Il avait envie d'en savoir plus sur elle. Dans tous les cas, elle Ă©tait concernĂ©e par la magie. Ou Ă  l'une de ses branches. ÉloignĂ©e ou pas. Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Lun 15 AoĂ» - 1708 Pas de soucis La magie de la libertĂ©. LibertĂ© d'accepter le dĂ©fi d'un inconnu croisĂ© dans la rue. En partant de chez elle, Alice pensait tomber dans un gouffre de solitude, loin de sa famille, ses amis, ses repĂšres, sa baguette. Mais en vĂ©ritĂ©, elle n'avait fait que des rencontres durant son voyage. Et c'Ă©tait pas pour lui dĂ©plaire. Ne pas savoir ou on va se rendre le soir, se coucher tard ou pas du tout, faire ses propres choix, c'Ă©tait ça, la libertĂ©, pour la sorciĂšre aux yeux noirs. Le temps de deux mois, elle apprĂ©ciait la douce vie de vagabond, une vie sans mangemorts ni mages noirs, une vie dont elle rĂȘvait. Mais elle ne pouvait nier les problĂšmes du monde magique. S'enfuir et se rĂ©fugier ici pour le restant de ses jours Ă©tait terriblement tentant mais tout aussi lĂąche. A Ă  peine 16 ans, la bleu et bronze sentait dĂ©jĂ  le poids des responsabilitĂ©s peser sur ses Ă©paules. Elle ne pouvait dĂ©cidĂ©ment pas passer Ă  cĂŽtĂ© de tout ces crimes qui se commettaient autour d'elle, de toutes ces attaques, cette propagande, ces camps, ces capes noirs. Elle savait que son avenir serait entiĂšrement dĂ©diĂ© Ă  ça. Lutter pour ses valeurs. Elle n'Ă©tait rien d'autre qu'un oiseau en cage dont elle avait la clef elle-mĂȘme, car elle avait choisi ça. Une part d'elle Ă©tait moldue, mais l'autre Ă©tait sorciĂšre. La sang-mĂȘlĂ©e avait donc le choix mais prendre le chemin le plus facile, c'Ă©tait pas pour garçon refusa poliment l'argent. Il avait commencĂ© sa phrase en Anglais. Il lui proposa d'ailleurs de parler dans cette langue. Ça lui allait trĂšs bien, elle parlait couramment Anglais Ă  cause de Poudlard, ne faisant que passer ses vacances en France, son pays natal. - Puis-je t'inviter Ă  marcher ?... Et Ă  prendre une... Il rĂ©flĂ©chit quelques instants. Une glace ! Oui, c'est bien une glace, ajouta-t-il avec un sourire qu'elle lui rendit. - OK. Elle rangea se affaires dans son sac et planqua la table et les chaises dans un coin, comme Ă  son habitude, avant de lui dire en dĂ©signant une ruelle piĂ©tonne qui paraissait assez sympathique, avec des glaciers tout les deux mĂštres environ- On va... par lĂ ?Tu as mon LA pour marcher Ă  cĂŽtĂ© de toi dans la rue. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Jeu 18 AoĂ» - 1650 La fille avait acceptĂ© l'invitation. AprĂšs avoir accordĂ© Ă  LĂŻnwe de la dĂ©fier. Elle Ă©tait, comme ce que l'on pouvait imaginer avec une joueuse de cartes mondaine, ouverte Ă  toute proposition. Et de ce mĂȘme fait, elle acceptait sĂ»rement de perdre comme de gagner. Avec un trĂšfle Ă  quatre feuilles ou non. Et d'aller visiter la ville avec un autre garçon. Sans aucune retenue. Sans timiditĂ© aucune. Pudeur inconnue. D'un cƓur innocent. Alors, les deux adolescents conclurent sur le fait de prendre une ruelle sur la droite. Je te suis. Tu as l'air de mieux connaĂźtre. Cela fait longtemps que tu es ici ? » demanda l'irlandais en observant chaque parcelle de dĂ©tails qui se collaient au dĂ©cor comme un Doxy se collerait au rideau. Ou un chewing-gum Ă  la semelle. C'Ă©tait bien la premiĂšre fois que le FelagĂŒnd voyait autant de monde dans une simple petite rue. Les pavĂ©s Ă©taient noirs de monde. DĂ©lavĂ©s par les aller-retour des passants. Quelques immondices de pigeons traĂźnaient prĂšs des gouttiĂšres. Formant un carreau de saletĂ© Ă  quelques endroits. Mais les murs de pierres blanches Ă©taient extraordinaires. Et apportaient lumiĂšre et saveur Ă  cette allĂ©e ne savait mĂȘme pas oĂč Ă©taient ses parents. Ils devaient s'attendre de l'autre cĂŽtĂ© du pont, dans dix minutes exactement. Il avait donc cinq minutes Ă  lui consacrer. Au fait, tu t'appelles comment ? Moi c'est LĂŻnwe. » ajouta-t-il en s'arrĂȘtant derriĂšre une file d'attente. On prend une glace ici ? Elles ont l'air Ă©norme. » Ça tombe Ă  pique pour quelqu'un qui a la dalle. Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Ven 19 AoĂ» - 1141 Se fondre dans le merveilleux dĂ©cor de la ville. Se mĂȘler Ă  la foule. C'Ă©tait le meilleur moyen de devenir invisible. Tant de vies diffĂ©rentes ou semblables se croisaient, s'ignoraient, se rencontraient, crĂ©aient ou brisaient des liens. C'Ă©tait ça, un lieu touristique. On pouvait ĂȘtre personne et tout le monde Ă  la fois, incarner un personnage pour devenir un jongleur, un clown, un artiste de rue. Lorsqu'on en Ă©tait un, on avait le sentiment de faire partie d'une famille. Parfois, des alliances de numĂ©ros se crĂ©aient, des musiciens pouvaient accompagner des danseurs par exemple. C'Ă©tait souvent des gens du voyage, ou des artistes saisonniers, souvent ils voulaient s'Ă©vader, fuir quelque chose, ou tout simplement faire ce qui leur plaisait, se tester. C'Ă©tait le cas d'Alice. La police avait renoncĂ©e depuis plusieurs gĂ©nĂ©rations Ă  arrĂȘter les numĂ©ros illĂ©gaux, mais, ici, mieux valait avoir plusieurs cartes Ă  jouer. Payer sa place dans un coin pour ĂȘtre en rĂšgles au cas ou, car la police n'Ă©tait tu de mĂȘme pas inactive, c'Ă©tait le joker. L'atmosphĂšre qui rĂ©gnait ici Ă©tait dĂ©licieuse, mystĂ©rieuse, Je te suis. Tu as l'air de mieux connaĂźtre. Cela fait longtemps que tu es ici ? lui demanda le sorcier qui dĂ©vorait les alentours de ses yeux bleu, non, verts. Les deux Ă  la fois. C'Ă©tait vrai qu'elle marchait d'un pas AssurĂ©. La sang-mĂȘlĂ©e le regardait faire avec amusement. C'Ă©tait beau de voir quelqu'un s'Ă©merveiller comme Au fait, tu t'appelles comment ? Moi c'est LĂŻnwe, ajouta-t-il en commençant Ă  faire la queue devant un glacier. On prend une glace ici ? Elles ont l'air effet, la boutique proposait de nombreuses sortes de glaces et assez de parfums pour faire hĂ©siter les plus fidĂšles amateurs du parfum vanille. De plus, le prix n'Ă©tait pas trĂšs Ă©levĂ© pour une zone aussi touristique. Elle avait un faible pour les pĂątes autant que pour les crĂšmes glacĂ©es. Elle lui sourit. - Oui, ici elles ont l'air bonnes. Je m'appelle Alice. Je suis arrivĂ©e en Italie depuis deux semaine, et c'est mon cinquiĂšme jour dans le coin. Et toi? Tu es venu ici en vacances, pour voir de la famille...?SĂ»rement pas seul, vu son Ăąge. Il Ă©tait cependant assez dĂ©brouillard pour se balader en ville sans se perdre. Il Ă©tait peut-ĂȘtre scolarisĂ© Ă  Poudlard, lui aussi. Étrangement, elle lui faisait si on jouait Ă  un jeux. Le jeux des questions rĂ©ponses. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Jeu 25 AoĂ» - 2251 RP trĂšs trĂšs spĂ©cial... xD Oui, ici elles ont l'air bonnes. » rĂ©pondit la jeune femme en parlant de la gelateria. Au mĂȘme moment, un commerçant chargĂ© de cartons faillit le bousculer. Je m'appelle Alice. Je suis arrivĂ©e en Italie depuis deux semaines, et c'est mon cinquiĂšme jour dans le coin. Et toi ? Tu es venu ici en vacances, pour voir de la famille...? » Un jeu de question-rĂ©ponse. Ne jamais laisser tomber. A toi de jouer pour gagner. Il la regarda d'un air curieux. Elle n'Ă©tait donc pas italienne. Il n'avait rien remarquĂ© de spĂ©cial dans sa voix. AprĂšs tout, elle avait peut-ĂȘtre une prononciation plus hachĂ©e. Comme quand les enfants butent sur des mots. La langue claquant trop rapidement au palais. Les dents un peu trop Ă©cartĂ©es. Une respiration coupĂ©e. Rien de trĂšs flagrant en soi. Et tu viens d'oĂč ?!! » rĂ©pliqua-t-il sans plus attendre. Et il se reprit, plus vite encore que ce gros gaillard qui venait de passer. Ooh et, je suis irlandais. Je suis venu ici en vacances effectivement. Pas pour la famille. Mais avec mes parents, mon frĂšre et ma sƓur. J'Ă©tudie au sein de l'Ă©cole Poudlard. » ajouta-t-il simplement. Hymne Ă  la glacegrosse comme un oiseauoiseau de proieoiseau de laitfleur d'orangeraux pĂ©pites de chocolator et noirceurgousse de vanille et senteur de pinles couleurs sont clairesmĂšres et pĂšrescornet de licornequi supporte ce poidsce poix de crĂšmesuintante et suaveparfum des merveillessucre dĂ©licieuxqui frĂ©tillent les papillespapillons languissantau lacde cet hymnehymne des prĂšshymneĂ  la glace. Eh ! Je crois que c'est Ă  nous. » s'exclama-t-il joyeusement. Une famille de sept gamins venait enfin de quitter la queue. Au final, y'avait pas tant de clients que cela. Mais ça prenait de la place. Entre les quatre marchants de glace de la rue, y'avait la moitiĂ© des passants qui passaient leur chemin. Et l'autre moitiĂ© qui prenait un rafraĂźchissement bien son deuxiĂšme moi. RĂ©glĂ© comme une montre Ă  que sept Tac. Tic. minutes passent et les mĂ©moires s'allongent. Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Lun 29 AoĂ» - 1141 Oui ^^- Et tu viens d'oĂč ?!!Biip, mauvaise rĂ©ponse. Triche pas! C'est ton tour de rĂ©pondre, pas l'inverse. Il comprend de lui-mĂȘme et reprend rapidement- Ooh et, je suis irlandais. Je suis venu ici en vacances effectivement. Pas pour la famille. Mais avec mes parents, mon frĂšre et ma sƓur. J'Ă©tudie au sein de l'Ă©cole de Qui ne connaĂźtra jamais son tranquille. Tu ne t'y attendais Mage La peur. La colĂšre. La mort de l' feu. A jamais ton Ton pĂšre n'est rĂ©veil. Tu espĂ©rais que tout cela n'Ă©tait qu'un mauvais Elle pleurait, ton frĂšre en son cruelle vĂ©ritĂ©. Le cauchemar Ă©tait Eh ! Je crois que c'est Ă  voie joyeuse fait taire l'autre, chasse les mauvais souvenirs. Son esprit revient dans l'instant prĂ©sent. Le voyage. Les cartes. Les rencontres. La LibertĂ©. L'Italie. Florence. Le garçon. Le dĂ©fi. La ballade. Il est Ă  Poudlard? Le monde est Alors une boule noix de coco, une autre chĂątaigne et une Tiramisu! commande-t-elle sur le mĂȘme ton choix est difficile. Elle a tout le temps de goĂ»ter le reste demain. La sang-mĂȘlĂ©e s'adresse au garçon Ă  voie plus basse- Je vois. Je suis française mais je suis aussi Ă©lĂšve Ă  Poudlard, alors je passe mon temps en Angleterre. LĂ , c'est les vacances, j'ai voulu en profiter pour voyager un peu. Et donc, c'est quoi ton nom? LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Lun 5 Sep - 2239 Les glaces sont immenses. Servies en cornet. Trompe d'Ă©lĂ©phant Ă  l'appĂ©tit dĂ©ment. Comme un enfant qui les aurait toutes commandĂ©es. D'un caprice rĂ©volu. Petit prince dĂ©chu d'une famille manipulĂ©e par une seule et mĂȘme idĂ©e. Trois grands piliers d'un temple romain fĂ©condĂ© par la facultĂ© de l'Homme. Des maisons des moulins des colisĂ©es Ă  perte de vue. Et cette fois, c'est au tour des deux jeunes sorciers. Qui passaient le temps Ă  se connaĂźtre. La fille s'exclama en premier Alors une boule noix de coco, une autre chĂątaigne et une Tiramisu ! » s'exclama-t-elle toute joyeuse. Indice qui permettait au garçon de mieux la connaĂźtre encore. Douceur Ă©toilĂ©e du coco. Lourdeur du tiramisu allĂ©gĂ©e par la dĂ©licatesse de la chĂątaigne. FidĂšle Ă  sa gousse. Euphorie italienne d'un capuccino bien chaud. Les boules que lui servies la serveuse furent Ă©normes. Goliath contre David, la petite Alice. La marchande rajouta un petit gĂąteau sur le dessus. Ornement apprĂ©ciĂ© d'un met couleurs sublimesd'un peintre surrĂ©alistequi aurait sĂ©duit sa propre imag-ination des plus suprĂȘmesde rĂȘves et de songesextrĂȘmesla premiĂšre blanche comme la neigel'autre marron comme une bogue tombĂ©e tristement Ă  l'automnela derniĂšre plus foncĂ©e encoremontrant son intensitĂ©aux Ă©clats aux pĂ©pitesde goĂ»t ultimequi rassasie cet appĂ©tit. Et pour moi, ça s'ra une boule fleur d'oranger, cannelle et pistache. » fit-il juste aprĂšs. Sourire d'un fantassin dĂ©sabusĂ©. Mort de chaud. Mort de viande. De nourriture. A se dĂ©lecter sous la langue. Il tendit les quelques euros qu'il devait, en ayant bien fait le compte cinq fois de suite dans sa tĂȘte, avant de repartir avec Alice. Chacun goĂ»tait Ă  sa propre rĂ©compense. Sa propre crĂ©ation de parfums inĂ©gaux. Je vois. Je suis française mais je suis aussi Ă©lĂšve Ă  Poudlard, alors je passe mon temps en Angleterre. LĂ , c'est les vacances, j'ai voulu en profiter pour voyager un peu. Et donc, c'est quoi ton nom ? » demanda-t-elle ensuite en laissant le FelagĂŒnd bouche bĂ©e. Haaa mais tu pouvais pas me le dire que tu Ă©tais de Poudlard !! Je m'appelle LĂŻnwe. » fit-il en souriant l'air gĂȘnĂ©. J'aurai pu Ă©viter de vouloir tricher dĂšs le dĂ©but. Mais si tu es française pourquoi tu es Ă  Poudlard ? » interrogea-t-il l'air c'est lĂ  qu'il vit tous les deux un nouvel artiste de rue. Artisan du jour. Paysan de nuit. Faisant jouer de sa clarinette quelques secondes. Tirant des cartes, les suivantes. En passant par une petite danse de bouffonnerie tant apprĂ©ciĂ©e par les spectateurs. LĂŻnwe se dĂ©lectait autant de sa glace que de ce nouveau numĂ©ro comme on en voyait tant dans ces rues emblĂ©matiques d'Italie. Seulement, toutes les bonnes choses ont une fin. Alors, comme si le dernier croc de son cornet consistait Ă  marquer la fin du spectacle, deux policiers moldus vinrent interpeller l'italien assis lĂ . Prouvant par la force des choses qu'il outrepassait les lois de la sociĂ©tĂ©, rĂšgles inventĂ©es par une maintenance mouvementĂ©e. Ils demandĂšrent Ă  l'individu, pauvre de lui, de quitter les lieux et de ne pas refaire ça en public. Laissant la foule de touristes huer l'ordre militaire. Ils n'Ă©taient d'ailleurs pas les seuls Ă  protester. LĂŻnwe s'avançait vers les deux types en rĂ©clamant la lĂ©gitimitĂ© de cet homme itinĂ©rant. Se demandant si Alice Ă©tait de son Tac. Tic. temps se presse comme ce lapin dans sa pas Ă  me MP si quelque chose est Ă  modifier. ^^ Re Florence, la plus belle ville d'ItalieContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Simple et efficace et surtout dĂ©licieux Le tiramisu le dessert idĂ©al quand on cherche une idĂ©e Ă  faire Ă  l’avance ». ProposĂ© ici en version individuelle, il est encore plus tentant prĂ©sentĂ© dans un grand plat ! N’hĂ©sitez pas Ă  varier les versions, il n’y a pas que les biscuits Ă  la cuillĂšre dans la vie pensez aux madeleines aussi et avec des fruits c’est trĂšs sympa l’étĂ© fraises ou framboises ? Et pour faire un Ă©norme pied de nez Ă  tous les rĂ©gimes de la terre, il y a aussi une version indĂ©cente ICI
 IngrĂ©dients pour 4 250 g de mascarpone 3 petits oeufs ou 2 gros 3 cuillĂšres Ă  soupe de sucre en poudre 8 amaretti la recette Ă  la fin 20 cl de cafĂ© bien fort 2 cuillĂšres Ă  soupe de Cointreau pour une petite note d’orange fabuleuse
 1 cuillĂšre Ă  soupe de cacao amer Fouetter les jaunes avec le sucre pendant 5 minutes, ajouter le mascarpone en plusieurs fois et continuer de bien mĂ©langer jusqu’à obtenir une consistance bien dense. Monter les blancs en neige et les ajouter Ă  la crĂšme qui va devenir bien mousseuse
 MĂ©langer le cafĂ© avec le Cointreau. Tremper 4 amaretti pour bien les imbiber et les placer au fond des verres. Recouvrir d’une belle couche de crĂšme. Tremper les 4 autres biscuits dans le cafĂ© aromatisĂ© et les ajouter chacun dans un verre sur la crĂšme. Terminer avec la crĂšme et mettre au frais au moins 2 heures. Au moment de servir, saupoudrer de cacao et
 
plonger la cuillĂšre ! Pour faire soi-mĂȘme ses amaretti, c’est simple comme tout 2 blancs en neige + 150 g de sucre + 175 g de poudre d’amandes + quelques gouttes d’amande et hop 5 minutes au four Ă  200° et juste un nuage de sucre glace Ă  la sortie


tiramisu combien de temps Ă  l avance