AfficheUN HOMME ET UNE FEMME Claude Lelouch ANOUK AIMEE Trintignant 60x80cm. €380,00 Paiement sĂ©curisĂ© . Livraison dans le monde entier. 20 ans d’expĂ©rience dans 1 Le regard. Le regard ne trompe pas ! Une femme qui regarde son homme avec des yeux grands Ă©carquillĂ©s, qui le couve des yeux dĂšs qu’il parle, pas de doute, c’est une femme amoureuse. L’intensitĂ© du regard trahit les Ă©motions et sentiments. Si les yeux de votre compagne brillent dĂšs qu’elle vous aperçoit, vous pouvez ĂȘtre rassurĂ©s, Messieurs. PostersAndCoℱ Un Homme et Une Femme Film Rqlb-Poster HQ 40x60cm d'une Affiche CinĂ©ma : Amazon.fr: Cuisine et Maison Continuer sans accepter Choisir vos prĂ©fĂ©rences en matiĂšre de cookies Lemployeur doit respecter le droit Ă  l'information des salariĂ©s sur leur lieu de travail. Ces informations concernent de nombreux domaines (Ă©galitĂ© femmes-hommes, discrimination, rĂšglement intĂ©rieur par exemple). Il doit afficher certaines informations dans des lieux facilement accessibles. L'employeur peut communiquer d'autres informations par tout moyen (site intranet 184% pour le salaire horaire net. Il s'agit ici de l'Ă©cart entre le salaire des hommes et des femmes sur l'ensemble des contrats Ă  temps plein, quelles que soient les situations. En 2015, une Ala pubertĂ©, dĂšs que les testicules et les ovaires commencent Ă  fonctionner, les caractĂšres sexuels secondaires apparaissent progressivement, les caractĂšres sexuels primaires se modifient. Ces transformations permettent de distinguer un homme d’une femme. 1/Faire un tableau de ces changements : Cinquantetrois ans aprĂšs Un homme et une femme, Grand prix du Festival de Cannes en 1966, Claude Lelouch retrouve son couple mythique, Jean-Louis Trintignant et Anouk AimĂ©e, dans Les plus G7C2. Astronaute en EVA pour effectuer des rĂ©parations sur l’ISS. Statistiquement, il y a plus de chances qu’il s’agisse d’un homme que d’une femme
 Photo NASA Valentina Tereshkova, Sally Ride, Claudie HaignerĂ©, Peggy Whitson, Kathryn Thornton, Christina Koch, Jessica Meir
 Ces noms ne vous disent rien, alors que vous connaissez Youri Gagarin ou Buzz Aldrin ? Il est temps de rectifier les choses et de braquer le projecteur sur les femmes astronautes. Vous avez sans doute aimĂ© Ellen Ripley/Sigourney Weaver Alien, Ryan Stone/Sandra Bullock Gravity. Peut-ĂȘtre aimerez-vous aussi Sarah Loreau/Eva reen, cette maman astronaute qui prĂ©pare son dĂ©part pour Mars et la sĂ©paration d’avec sa fille, dans le film Proxima sorti au cinĂ©ma le mercredi 27 novembre. Mais, avec tout le respect que l’on peut avoir pour ces immenses actrices, qu’en est-il des femmes qui sont allĂ©es dans l’Espace pour de vrai » ? Connaissez-vous seulement leur nom ? Moi non. Exception faite de la Française Claudie HaignerĂ©, je ne pourrais pas en citer une seule, spontanĂ©ment. Ou peut-ĂȘtre, en cherchant bien, le duo Christina Koch et Jessica Meir. Ces deux AmĂ©ricaines ont effectuĂ© la premiĂšre sortie extravĂ©hiculaire dans l’Espace EVA pour les intimes 100 % fĂ©minine, en octobre 2019. VoilĂ  deux sacrĂ©es femmes, Ă©galement grandies par leurs rĂ©ponses Ă  la parodie d’interview menĂ©e par Donald Trump. Mais oublions-le bien vite et prenons de l’altitude. Comme Christina Koch et Jessica Meir qui suivent les pas d’une longue lignĂ©e de femmes dans l’Espace ». Et pas que sur grand Ă©cran. NASA astronauts Christina Koch and Jessica Meir have completed their spacewalk, becoming the first two women to venture outside the International Space Station at the same time. Smithsonian Magazine SmithsonianMag October 18, 2019 Une longue lignĂ©e de femmes dans l’Espace » La liste est longue, en effet, bien que spoiler alert la paritĂ© ne soit pas plus au rendez-vous que sur le plancher des vaches. Les femmes ne reprĂ©sentent que 11,4 % des 562 personnes qui sont allĂ©es au moins une fois dans l’Espace, recensĂ©es sur le site dont je tire les donnĂ©es exploitĂ©es ici. Une personne sur dix. Pour la moitiĂ© de l’humanité  Au passage, pour dĂ©signer les astronautes/ cosmonautes/ spationautes/ taĂŻkonautes comme un seul et mĂȘme ensemble, je parlerai d’astronautes. AprĂšs tout, c’est la NASA qui domine le paysage
 Si l’on remonte aux origines des missions spatiales habitĂ©es, la premiĂšre femme Ă©tait
 la 10e personne envoyĂ©e dans l’Espace. Les proportions sont bien respectĂ©es. Le 16 juin 1963, la cosmonaute Valentina Tereshkova, 26 ans, dĂ©collait pour un voyage d’un peu plus de deux jours. Et il faudra attendre le 19 aoĂ»t 1982, presque 20 ans plus tard, pour qu’une deuxiĂšme femme parte. Une deuxiĂšme SoviĂ©tique Svetlana Savitskaya, 34 ans. Je ne vais pas toutes les Ă©numĂ©rer, rassurez-vous. Enfin, Ă  ce train-lĂ , une femme en apesanteur tous les 20 ans, on partait sur des bases un peu limites. Limites, comme certains propos de cette vidĂ©o russe que l’on peut dĂ©couvrir au sujet des femmes dans l’Espace ». Les choses se sont heureusement amĂ©liorĂ©es. Dans les faits, si ce n’est dans le discours
 ou dans la coupe inadaptĂ©e des combinaisons spatiales. Les annĂ©es sans femmes envoyĂ©es dans l’Espace se font rares. On en compte quand mĂȘme 3 depuis l’an 2000 2004, 2015 et 2017. Des annĂ©es maigres » aprĂšs l’explosion de la navette Challenger en 2003. Grosso modo, on envoie des femmes dans l’Espace quand on y envoie beaucoup de monde, comme le montrent les courbes empilĂ©es de gauche, ci-dessous. Notez aussi qu’aucune annĂ©e n’est paritaire. Aucune annĂ©e ne passe mĂȘme la barre des 25 % de femmes parmi les personnes envoyĂ©es dans l’Espace, comme l’indiquent les courbes empilĂ©es de droite. Sauf 1963, mais sur un volume tout riquiqui. Seules trois personnes ont dĂ©collĂ©, cette annĂ©e-lĂ  Valentina Tereshkova, son compatriote Valeri Bykovsky, et l’AmĂ©ricain Leroy Cooper. Quel pays fait dĂ©coller le plus de femmes ? Eh oui, les AmĂ©ricains ont commencĂ© Ă  s’en mĂȘler, piquĂ©s de voir des SoviĂ©tiques goĂ»ter Ă  l’apesanteur les premiers
 Les Etats-Unis ont largement inversĂ© la tendance, face Ă  l’URSS puis la Russie. D’ailleurs, la troisiĂšme femme dans l’Espace fut AmĂ©ricaine Sally Ride a dĂ©collĂ© le 18 juin 1983, Ă  32 ans. De nombreuses autres ont suivi. A ce jour, 78,1 % des femmes envoyĂ©es dans l’Espace sont AmĂ©ricaines. Ceci dit, les AmĂ©ricains envoient aussi beaucoup plus d’hommes que les autres nations. Si l’on regarde la part des femmes parmi les personnes envoyĂ©es dans l’Espace, alors on n’atteint que 14,5 % de femmes parmi les astronautes de la NASA. A peine mieux que la moyenne gĂ©nĂ©rale. Le Japon et la Chine font un peu mieux 16,7 % et 18,2 %, la France moins bien 10 %, grĂące Ă  Claudie HaignerĂ© seule. Le Royaume-Uni a envoyĂ© une personne de chaque sexe dans l’Espace. Et le seul CorĂ©en du Sud qui a dĂ©collĂ© Ă©tait
 une CorĂ©enne du Sud, Soyeon Yi. Portrait-robot qui sont ces astronautes qui volent au-dessus de nos tĂȘtes ? Les donnĂ©es de Spacefacts permettent aussi de brosser un petit portrait-robot de ces femmes d’exception. En moyenne, elles sont plus jeunes, plus souvent cĂ©libataires ou divorcĂ©es, avec moins d’enfants que leurs homologues masculins
 Et elles occupent aussi moins souvent la position de supĂ©rieur hiĂ©rarchique. Commençons par le statut marital les hommes mariĂ©s reprĂ©sentent 92 % des astronautes, alors que seulement 68,8 % des femmes astronautes sont mariĂ©es. Le cĂ©libat et le divorce sont plus frĂ©quents pour elles que pour eux. Dans le mĂȘme temps, elles ont tendance Ă  avoir moins d’enfants qu’eux. C’est simple, la moitiĂ© des astronautes femmes n’a pas d’enfants, alors que seuls 9 % des hommes sont concernĂ©s. Plus elles comptent de rejetons, moins elles ont de chance de dĂ©coller
 C’est l’inverse pour les hommes. On observe mĂȘme un pic Ă  deux enfants 47 % des astronautes masculins sont dans ce cas. On ne compte que 3 astronautes femmes avec 3 enfants chacune
 et Kathryn Thornton, qui a eu 5 enfants et qui a fait 4 voyages dans l’Espace. En quelques clics via Wikipedia, on apprend qu’elle est nĂ©e dans l’Alabama, que sa famille est recomposĂ©e, que son mari Stephen est professeur Ă©mĂ©rite de Physique Ă  l’universitĂ© de Virginie et auteur de quelques livres notamment sur la dynamique des particules. Quand ils ont un peu de temps libre dans leurs brillantes carriĂšres, ils vont skier ou faire de la plongĂ©e sous-marine. Mais. Comment. Font-ils ? Revenons aux donnĂ©es. En moyenne, les femmes astronautes effectuent leur premier vol Ă  37,6 ans, contre 40,2 ans pour les hommes. Depuis les premiers vols habitĂ©s, cet Ăąge moyen augmente d’ailleurs lĂ©gĂšrement. Cette relative jeunesse des femmes astronautes n’est sans doute pas sans lien avec le fait qu’elles sont moins souvent au sommet hiĂ©rarchique de leur mission. Finalement, l’Espace n’est pas si diffĂ©rent de la Terre. Il s’agit sans doute plus d’un problĂšme liĂ© au vivier que d’un souci purement spatial. Combien de femmes parmi les pilotes d’essai ou les grands scientifiques, amenĂ©s Ă  devenir d’éventuels astronautes ? D’oĂč l’intĂ©rĂȘt d’encourager les petites filles Ă  devenir des femmes puissantes
 et de leur donner des modĂšles fĂ©minins. Et une fois dans l’Espace, sont-elles des astronautes comme les autres ? Maintenant, si l’on regarde le nombre de voyages effectuĂ©s par chaque Spacien, la moyenne est identique ils et elles partent en moyenne 2,3 fois. Les femmes ont un peu plus tendance que les hommes Ă  ne partir qu’une fois
 Mais 9,3 % des femmes partent 5 fois, alors que seuls 3,8 % des hommes partent 5 fois. Seuls des hommes ont fait 6 ou 7 vols diffĂ©rents. Soulignons que les 6 femmes qui ont fait 5 voyages Shannon Lucid, Bonnie Dunbar, Marsha Ivins, Tamara Jernigan, Susan Helms, Janice Voss sont toutes AmĂ©ricaines. La Russie, distancĂ©e, prĂ©pare de nouveau quelques femmes. En termes de temps de vol, les choses se gĂątent
 La moyenne montre un net dĂ©crochage entre les hommes et les femmes, tout comme les records » de temps passĂ© dans l’Espace. Les femmes ont passĂ© en moyenne 103 296 minutes lĂ -haut, contre 143 025 minutes pour les hommes. En jours, la mesure est moins prĂ©cise mais plus parlante 71 jours contre 99 jours. Pour les records, l’AmĂ©ricaine Peggy Whitson a passĂ© 665 jours 958 942 minutes prĂ©cisĂ©ment dans l’Espace. NĂ©e en 1960, elle a fait trois sĂ©jours en apesanteur aprĂšs avoir dĂ©collĂ© pour la premiĂšre fois Ă  42 ans. CĂŽtĂ© masculin, le Russe Gennadi Padalka affiche un total de 878 jours 1 265 009 minutes en 5 sĂ©jours. L’écart entre les deux environ 7 mois. Quant aux sorties dans l’Espace, les femmes y sont sous-reprĂ©sentĂ©es. En effet, on ne compte que 6 % de femmes en space-walk » alors qu’elles constituent 11,4 % des Ă©quipages, pour rappel. Et elles n’effectuent que 5 % des EVA. En moyenne, logiquement, on compte un peu moins de sorties par femme 2,9 que par homme 3,6 en moyenne. En revanche, lorsque l’on compte le temps passĂ© en sortie extra-vĂ©hiculaire, une certaine Ă©galitĂ© se dessine. On atteint une moyenne 1158 heures pour les femmes, contre 1172 heures pour les hommes. Une paille de 14h. Le record de la sortie la plus longue est d’ailleurs partagĂ© par un homme et une femme. Le 11 mars 2001, Susan Helms et James Voss ont passĂ© 8 heures et 56 minutes en EVA. En record de temps cumulĂ©, on retrouve Peggy Whitson en 4e position avec 3621 minutes en 10 sorties. La mĂȘme Peggy Whitson, biochimiste de talent, qui fut la premiĂšre femme commandante Ă  bord de l’ISS et dont on dit que Superman porte son pyjama ». Le record est dĂ©tenu par le Russe Anatoliy Solovyov avec 4728 minutes en 16 sorties. Une deuxiĂšme femme figure au top 10 Sunita Williams, avec 3040 minutes en 7 sorties. Dans les coulisses La place des femmes dans l’Histoire. A force d’écouter des podcasts comme La Poudre, Une Autre Histoire ou Des couilles sur la table, j’allais forcĂ©ment tenter d’aborder la question, d’une maniĂšre ou d’une autre. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai choisi ce sujet. Ma curiositĂ© a aussi Ă©tĂ© nourrie par la lecture des CulottĂ©es de PĂ©nĂ©lope Bagieu. Au milieu de ces portraits de femmes qui ne font que ce qu’elles veulent », on retrouve celui de Mae Jemison, la premiĂšre femme afro-amĂ©ricaine dans l’Espace en 1992, dans le deuxiĂšme tome de cette sĂ©rie de BD. Allez, pour le plaisir, un peu de Peggy Whitson qui parle des femmes astronautes. Je l’adore. VoilĂ  pour le fond. Pour la forme, j’ai utilisĂ© la fonction =importhtml dans Google Spreadsheet pour rĂ©cupĂ©rer les donnĂ©es sur le site Space Facts. J’ai redĂ©couvert cette fonction qui rend bien des services, Ă  l’occasion des premiers volets du Mooc Data Journalism and Visualization with Free Tools que je suis, plus ou moins assidĂ»ment. Ce cours en ligne est proposĂ© par le Knight Center et Google News Initiative, avec Alberto Cairo et Simon Rogers dans le rĂŽle des intervenants stars. Les modules ne sont pas Ă©quilibrĂ©s, celui sur le machine learning m’a laissĂ©e perplexe, et la prĂ©sence des outils Google est un peu trop forte Ă  mon goĂ»t. Mais j’ai pu y rĂ©viser pas mal, redĂ©couvrir des trucs et astuces comme cette fonction fill down qui te sauve la mise dans Open Refine, et en apprendre quelques autres Web Scraper a encore des secrets pour moi, mais j’y travaille. Bref, une strate de plus dans un apprentissage qui ne sera jamais terminĂ©, pour mon plus grand plaisir ! J’ai utilisĂ© Flourish pour les visualisations, je commence vraiment Ă  y prendre goĂ»t. A cĂŽtĂ© des visualisations complexes que je peux rĂ©aliser avec Tableau, dans le cadre de mon travail pour AEF Data Sup-Recherche, j’apprĂ©cie la facilitĂ© de prise en main et le rendu simple de Flourish. Il ne remplace pas Infogram qui permet de faire des posters avec plusieurs visualisations, ou Datawrapper dont la sobriĂ©tĂ© reste un must. Je sais dĂ©jĂ  que c’est lĂ  que je ferai mon prochain diagramme de Sankey, dĂšs que l’occasion se prĂ©sentera et parce que c’est vraiment trop tordu dans Tableau, dĂ©solĂ©e. Ah, et l’outil propose aussi le fameux bar chart race, mĂȘme si ce format lasse dĂ©jĂ  ce serait le hand-spinner de la dataviz ». Pour finir, une petite note sur les couleurs utilisĂ©es ici. J’ai repris les nuances de violet et de vert utilisĂ©es par le Telegraph, aprĂšs avoir lu ce post passionnant sur les couleurs et le genre, sur le blog de Datawrapper. Cette alternative au rose et au bleu s’appuyait sur l’identitĂ© visuelle de la campagne Votes for Women » au Royaume-Uni au dĂ©but du XXe siĂšcle violet pour la libertĂ© et la dignitĂ©, blanc pour la puretĂ©, vert pour l’espoir », dĂ©crit Fraser Lyness, le directeur du journalisme graphique au Telegraph, dans ce post. Et le violet a Ă©tĂ© attribuĂ© aux femmes pour les visualisations du quotidien pour attirer l’attention sur elles. Un homme en Malaisie a dĂ©couvert qu’il Ă©tait considĂ©rĂ© comme mort et enterrĂ© aprĂšs avoir tentĂ© de porter une plainte Ă  la police. Low Choo Choon, 71 ans, qui travaille dans l’industrie funĂ©raire, a Ă©tĂ© informĂ© de sa mort » aprĂšs avoir tentĂ© de remettre un acte concernant un lieu de sĂ©pulture. L’homme qui est un conducteur de corbillard et sa femme possĂ©daient deux sites de sĂ©pulture depuis environ 20 ans, mais avaient dĂ©cidĂ© de transfĂ©rer leurs sites Ă  un parent pour des raisons financiĂšres pendant qu’ils allaient ĂȘtre incinĂ©rĂ©s lorsqu’ils allaient Ă©ventuellement mourir. Au cours du processus, Low s’est rendu compte qu’il avait perdu les documents indiquant la propriĂ©tĂ© de la tombe. Il s’est dirigĂ© vers le commissariat pour dĂ©poser une plainte, rapporte FMT. Cependant, il a Ă©tĂ© refoulĂ© parce que les agents de la station qui ont dĂ©clarĂ© que son statut Ă©tait actuellement dĂ©cĂ©dĂ© ». Low s’est rendu au dĂ©partement national d’enregistrement, connu sous le nom de JPN, pour dĂ©poser une plainte oĂč on lui a dit que le dĂ©partement trierait son statut dans deux semaines pour le changer. Maintenant, Low cherche des rĂ©ponses et a mĂȘme sollicitĂ© l’aide de son gendre mais sans succĂšs. En raison de son statut de mort », il a eu du mal Ă  renouveler sa taxe de circulation, n’a pas pu voter et maintenant il craint mĂȘme que ses comptes bancaires ne soient fermĂ©s. S’exprimant lors d’une confĂ©rence de presse avec le politicien Wong Bor Yang Ă  qui il a demandĂ© de l’aide, Low a dĂ©clarĂ© Je travaille dans un salon funĂ©raire depuis tant d’annĂ©es, mais je n’aurais jamais pensĂ© que je serais rĂ©pertoriĂ© comme » mort . Si mon [statut] n’est pas mis Ă  jour, je crains que mon compte bancaire et mes avoirs ne soient gelĂ©s. » Si les femmes s’émancipent aussi bien au travail que dans leur vie personnelle, si les tabous tombent petit Ă  petit et que le sexisme recule dans tous les domaines, il reste bien une sphĂšre oĂč femmes et hommes ne sont pas Ă  Ă©galitĂ© la publicitĂ©. De la publicitĂ© sexiste mettant en scĂšne la mĂ©nagĂšre dans les annĂ©es 50 aux pubs actuelles hyper sexualisĂ©es, comment a Ă©voluĂ© la reprĂ©sentation des femmes dans ce monde oĂč esthĂ©tisme et rentabilitĂ© sont une prioritĂ© ? Quels horizons peut-on espĂ©rer pour plus d’égalitĂ© ? De la mĂ©nagĂšre Ă  la femme objet DĂšs les prĂ©mices de la publicitĂ© et jusqu’à aujourd’hui, des clichĂ©s plus ou moins Ă©vidents ont Ă©tĂ© exploitĂ©s par les annonceurs. Si les stĂ©rĂ©otypes ont toujours Ă©tĂ© prĂ©sents, ils ont Ă©voluĂ©s au fil des annĂ©es. La dĂ©mocratisation de l’électromĂ©nager dans les annĂ©es 50 et son caractĂšre libĂ©rateur pour les femmes est un filon juteux. Celles-ci sont essentiellement assignĂ©es Ă  la maison, derriĂšre les fourneaux ou aux tĂąches mĂ©nagĂšres, endossant le rĂŽle de bonnes Ă©pouses et tributaires des choix financiers de monsieur. La femme soumise se plie aux besoins de l’homme et des enfants. PublicitĂ©s Clan – Seb©DR Alors que les femmes s’émancipent et gagnent en indĂ©pendance dans les annĂ©es 70, les spots publicitaires Ă©voluent aussi. Travailleuse, active, indĂ©pendante
 elle devient consommatrice et veut davantage se faire plaisir. Dans les annĂ©es 90, c’est l’apparition du clichĂ© de la femme objet ». Souvent hyper-sexualisĂ©, le corps fĂ©minin devient un vĂ©ritable produit de consommation. C’est la naissance du porno chic » omniprĂ©sent dans la publicitĂ© sexiste. PublicitĂ©s Tom Ford – Yves Saint Laurent – Dolce & Gabbana©DR La publicitĂ© sexiste, c’est aujourd’hui terminĂ© ? Les personnages occupant des rĂŽles esthĂ©tiques ou inactifs sont en majoritĂ© des femmes. Bien que moins Ă©vidents, les stĂ©rĂ©otypes sont toujours bien prĂ©sents dans nos publicitĂ©s actuelles. Les publicitĂ©s ouvertement sexistes ont laissĂ© subtilement la place Ă  des spots publicitaires trĂšs genrĂ©s. Une Ă©tude publiĂ©e par le CSA en 2017 rĂ©vĂšle des chiffres plutĂŽt consternants les rĂŽles d’expert sont rĂ©servĂ©s dans 82 % des cas Ă  des hommes, deux tiers des personnes sexualisĂ©es sont des femmes, on fait appel Ă  des hommes dans 78 % des cas pour parler d’argent et aux femmes pour parler de l’entretien du corps. Des constats pas si surprenants qui exploitent les clichĂ©s habituels et qui se retrouvent plus largement dans les mĂ©dias. Les femmes sont moins prĂ©sentes 46 % et ce sont globalement elles que l’on retrouve en cuisine et avec les enfants pendant que les hommes parlent assurance / banque / mutuelle / automobile. Toujours selon l’étude menĂ©e par le CSA en 2017, les personnages occupant des rĂŽles esthĂ©tiques ou inactifs sont en majoritĂ© des femmes ». À lire aussi Image et rĂŽle des femmes dans les mĂ©dias l’égalitĂ©, une utopie ? Quand les hommes aussi se mettent Ă  nu Bien que moins frĂ©quentes, les publicitĂ©s sexistes dĂ©gradant les hommes existent. LancĂ©e essentiellement dans le milieu du parfum, l’image du mĂąle nu au corps de rĂȘve le rĂ©duisant Ă  son aspect esthĂ©tique est petit Ă  petit devenu une rĂ©fĂ©rence pour les marques de luxe. Avec l’émancipation des femmes dans les annĂ©es 70, l’homme devient petit Ă  petit un objet de consommation dont la femme forte peut se jouer, comme dans cette publicitĂ© KookaĂŻ de 1990 prĂ©sentant des hommes dans un distributeur ou le logo trĂšs explicite du site en ligne français AdopteUnMec. Et l’apogĂ©e du porno chic dans les annĂ©es 2000 n’exclue aucun sexe. L’homme passe du produit esthĂ©tique Ă  un vĂ©ritable objet sexuel. Et puis il y a les pubs qui ne font pas de jaloux comme la campagne Darty de 2013
 PublicitĂ©s KookaĂŻ – Darty – AdoptUnMec©DR L’humour vu comme un prĂ©texte Au fil des annĂ©es, le sexisme flagrant trouve de plus en plus de dĂ©tracteurs. Mais pas question pour certains annonceurs de renoncer Ă  d’illustres techniques publicitaires et ils ont pour cela plus d’un tour dans leur sac. Pourquoi ne pas utiliser l’humour ? Sous couvert de second degrĂ©, des publicitaires utilisent rĂ©guliĂšrement des clichĂ©s bien ancrĂ©s et dĂ©clenchent un bad buzz pour donner un coup de projecteur Ă  la marque. En 2000, les jeux de mots de la marque Babette comparent la femme Ă  la crĂšme fraĂźche Ă  travers des allusions sexuelles. En 2009, la sociĂ©tĂ© de location de voitures Sixt fait un tollĂ© avec des publicitĂ©s basĂ©es sur le clichĂ© selon lequel les femmes ne savent pas conduire. En 2013, la mutuelle SMEREP place les blondes comme des cruches
 des clichĂ©s qui ont la peau dure, que les annonceurs se permettent sous prĂ©texte d’humour. ÉpinglĂ©es par des associations fĂ©ministes comme Les Chiennes de Garde, La Meute, Les Lionnes ou encore le compte Twitter PĂ©pite Sexiste qui interpelle les marques et obtient souvent des excuses en retour
 ces publicitĂ©s Ă  caractĂšre humoristique font polĂ©mique et poussent gĂ©nĂ©ralement les annonceurs Ă  les retirer tout en se dĂ©fendant d’avoir voulu sous-entendre de quelconques propos sexistes. Sixt assure que Les Français n’ont pas compris l’ironie » [1], la SMEREP confirme que cette publicitĂ© avait Ă©tĂ© testĂ©e sur un public Ă©tudiant 
 elle faisait plutĂŽt rire et n’a jamais choquĂ© personne » [2] pendant que Babette se dĂ©fend la crĂ©ation a Ă©tĂ© testĂ©e par des femmes et il n’y a eu aucun problĂšme. En tout cas, il n’y avait de notre part aucune arriĂšre-pensĂ©e ». PublicitĂ©s Babette – Sixt©DR Des moyens pour dĂ©noncer le sexisme dans la publicitĂ© Créée en 1934 afin de lutter conte la publicitĂ© mensongĂšre, l’AutoritĂ© de RĂ©gulation Professionnelle de la PublicitĂ© ARPP vise aujourd’hui Ă  promouvoir la publicitĂ© saine, vĂ©ridique et loyale ainsi qu’une communication responsable » en Ă©laborant le guide des recommandations de la publicitĂ©. Le Jury de DĂ©ontologie Publicitaire JDP vient renforcer l’ARPP en 2008 en permettant Ă  chacun de dĂ©noncer une publicitĂ© en dĂ©posant une plainte. Dans la mĂȘme lignĂ©e et convaincue que l’ARPP ne suffit pas Ă  endiguer le sexisme dans la pub, l’association RĂ©sistance Ă  l’Agression Publicitaire RAP lutte depuis plus de 25 ans contre le systĂšme publicitaire et ses dĂ©rive Please verify you are a human Access to this page has been denied because we believe you are using automation tools to browse the website. This may happen as a result of the following Javascript is disabled or blocked by an extension ad blockers for example Your browser does not support cookies Please make sure that Javascript and cookies are enabled on your browser and that you are not blocking them from loading. Reference ID 01442058-1e1c-11ed-b392-774873614a41 Release date 31 May 1966 By Claude Lelouch with Jean-Louis Trintignant, Anouk AimĂ©e, Pierre Barouh Une script-girl inconsolable depuis la mort de son mari cascadeur, rencontre Ă  Deauville un coureur automobile dont la femme s'est suicidĂ©e par dĂ©sespoir. Ils s'aiment, se repoussent, se retrouvent et s'aiment encore Infos, trailers & details Un homme et une femmeUne script-girl inconsolable depuis la mort de son mari cascadeur, rencontre Ă  Deauville un coureur automobile dont la femme s'est suicidĂ©e par dĂ©sespoir. Ils s'aiment, se repoussent, se retrouvent et s'aiment encore Directed by Claude Lelouch With Jean-Louis Trintignant, Anouk AimĂ©e, Pierre BarouhNationality FranceUser ratings7want to see it5Total reviewsRate this movieUn homme et une femmeFind sessions Quels sont les nouveaux films Ă  l'affiche au cinĂ©ma ? Retrouver toutes es nouveautĂ© de la semaine depuis la rubrique "Tous les films Ă  l'affiche", un bandeau "Nouveau" s'affiche sur les affiches des sorties de la semaine. Read more Comment savoir si un film est disponible IMAX, 4DX et Dolby dans mon cinĂ©ma PathĂ© ou Gaumont ? Pour connaitre la liste des films disponible dns votre cinĂ©ma pour chacune des technologie disponible, rendez vous sur la page dĂ©diĂ©e Ă  l'IMAX, 4DX et Dolby Cinema Read more Pourquoi rĂ©server en ligne ? En rĂ©servant gratuitement un billet sur notre site ou application mobile, vous avez la garantie - de rĂ©server votre fauteuil prĂ©fĂ©rĂ© pour la sĂ©ance de votre choix - d'accĂ©der rapidement Ă  votre sĂ©ance en vous rendant directement au point de contrĂŽle muni de votre e-billet et Ă©vitez ainsi les files d'attente. - de pouvoir annuler gratuitement jusqu'Ă  15 minutes avant le dĂ©but de la sĂ©ance Read more

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