Onne sait pas trop comment On ne sait pas trop pourquoi Mais le résultat est là. Des mots qui ne ressemblent, Même si c’est proche pourtant Plus à ceux que l’on ne peut comprendre Qu’à des mots venant d’une enfant. Tu n’entends pas, la nuit je pleure Je pleure parce que j’ai peur Peur de ne plus être la même Et que plus NEPLEURE PAS SI TU M'AIMES. La mort n'est rien. Je suis seulement passé de l'autre côté. Je suis moi. Tu es toi. Ce que nous étions l'un pour l'autre , nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné Parle-moi comme tu l'as toujours fait N'emploie pas un ton différent. Ne prends pas un air solennel ou triste Continue à rire de ce qui nous ÉdithPiaf - Pleure pas (Letras y canción para escuchar) - Pleure pas / T'as les yeux trop beaux pour ça / Pleure pas / Ou bien moi, je pleure avec toi / Pleure pas / Mon pauvre grande, je peux pas voir ça / Tais-toi . LETRAS.COM - Letras de canciones menu. buscar. Página Inicial. Música Clásica. Édith Piaf. Pleure pas. vistas 61. Pleure pas Édith Piaf. Pleure pas. T'as les yeux Cejeudi 21 juillet, 687 Si Tu M Aimes Ne M Aime Pas vous attendent à prix réduit sur notre plateforme e-commerce. Sur le neuf comme avec un produit Si Tu M Aimes Ne M Aime Pas occasion, profitez de l'ensemble de nos avantages client exclusifs pour faire un maximum de bonnes affaires. Comme l'utilisation d'un code promo Si Tu M Aimes Ne M Nepleure pas si tu m'aimes Saint Augustin. Si tu savais le don de Dieu et ce qu’est le ciel, Si tu pouvais d’ici entendre le chant des anges et me voir au milieu d’eux, Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons Nepleure pas si tu m'aimes Si tu savais le don de dieu et ce que c'est le ciel ! Si tu pouvais d'ici entendre le chant des anges, Et me voir au milieu d'eux ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons et les champs éternels, Les nouveaux sentiers où je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté Devant Sinon je ne te le dirais jamais assez : je t'aime plus que tout au monde. Et PROFITE ! Profite de la vie ! Si tu ne le fais pas pour toi, fais le pour moi (oui je sais je me répète) J'espère que tu m'aimes toi aussi ?! Vas-y crie le que tu m'aimes stp ?! J'men fou d'où tu te trouves Lena ! Crie, crie a en perdre les poumons. Jusqu'à ta 3wIUnJ. Ne pleure pas si tu m'aimes Ne pleure pas si tu m'aimes. Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le Ciel. Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Anges et me voir au milieu d'eux. Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons et les champs éternels, les nouveaux sentiers où je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent. Quoi, tu m'as vu, tu m'as aimé dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir, ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ! Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m’enchaînaient et, quand un jour que Dieu connaît et qu'il a fixé,ton âme viendra dans ce ciel où l'a précédée la mienne,ce jour-là tu me reverras, tu retrouveras mon affection épurée. A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, infidèles aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie, je sois devenu moins aimant. Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant d'instant en instant avec toi dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie. Essuie tes l armes et ne pleure plus si tu m'aimes. Saint Augustin Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel ! Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Bienheureux et me voir au milieu d'eux ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les immenses horizons et les nouveaux sentiers où je marche ! Si un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! Quoi ?… tu m'as vu… tu m'as aimé dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ? Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m'enchaînaient, et quand, un jour que Dieu seul connaît et qu'il a fixé, ton âme viendra dans ce ciel où l'a précédé la mienne… ce jour-là, tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiée. A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, je sois infidèle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie et sois devenu moins aimant ! Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant, d'instant en instant, avec toi, dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie ! Alors… essuie tes larmes, et ne pleure plus… si tu m'aimes !… Abonnements d'écoute de musique en streaming Web et mobile, packs de téléchargement MP3 - paiement Paypal ou carte bancaire © 2004-2022 ApachNetwork, tous droits réservés Labels, artistes, droits d'auteurs contactez-nous 28 août 2022 - 0412 Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel ! Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Bienheureux et me voir au milieu d'eux ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les immenses horizons et les nouveaux sentiers où je marche ! Si un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! Quoi ?… tu m'as vu… tu m'as aimé dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ? Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m'enchaînaient, et quand, un jour que Dieu seul connaît et qu'il a fixé, ton âme viendra dans ce ciel où l'a précédé la mienne… ce jour-là, tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiée. A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, je sois infidèle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie et sois devenu moins aimant ! Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant, d'instant en instant, avec toi, dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie ! Alors… essuie tes larmes, et ne pleure plus… si tu m'aimes !… Tags La Page de Pat Paroles et musique Jean-Claude GIANADDA Tu as choisi de partir, Tout s’est passé si vite, Elle te rongeait sans rien dire La maladie termite. Partie vers l’infini, Dans un matin si pâle, Tu n’étais pas d’ici, Mais d’un autre Pays Où naissent les étoiles. Refrain Mais je t’entends me dire “Ne pleure pas si tu m’aimes” Avec ton grand sourire, Tu ne cesses de me dire “Je t’appartiens quand même !” Oh ! Reviens si tu peux, si tu veux. Enfuie vers un “Ailleurs”, Tu as lâché la corde, Trop inapte au bonheur, Aux bruits et aux discordes. Mais pour moi ce matin, Tout le reste est dérisoire, Les remords - les chagrins Déchirent mon destin Et hantent ma mémoire. Mais je t’entends me dire “ Ne pleure pas si tu m’aimes ” Avec ton grand sourire, Tu ne cesses de me dire “ Je t ’appartiens quand même !... ” Adieu - Adieu. Quel âge a un enfant, Quand ses yeux sont fermés. “ Tu avais 17 ans tu as l’éternité... ” Un seul être est absent, Mais rien n’est dépeuplé. Un grand amour m’attend Il a l’éternité. Adieu - Adieu. Prétendre que tu n’es plus, C’est se renier soit même. La preuve à mon insu, Tu as écrit ce poème. Et pardon si j’envoie Cette “Lettre à l’Absente”, Je voudrais tant qu’ils voient, Je voudrais tant qu’ils croient Que la flamme est vivante. Car je t’entends me dire “ Ne pleure pas si tu m’aimes ” Avec ton grand sourire, Tu ne cesses de me dire “ Je t’appartiens quand même ... ! ” Adieu - À Dieu Puisque c’est près de Dieu Que nos vies se rejoignent.

ne pleure pas si tu m aimes