ParanoiaAgent: With Shôzô Îzuka, Toshihiko Seki, Mamiko Noto, Michael McConnohie. Seemingly unconnected citizens of Tokyo are targeted for bludgeoning by a boy with a golden baseball bat. As detectives try to link the victims, they discover that following the assaults, the victims' lives have improved in some way. Attention dessin animé hallucinogène (pour adultes) : des scientifiques ont inventé une machine à pénétrer dans les rêves d'autrui. Le prétexte pour Satoshi Kon (Perfect Blue) de donner libre cours à son imagination, dans une réalité de plus en plus poreuse. Achetez Perfect Blue by Satoshi Kon à petit prix. Livraison gratuite (voir cond.). Retrouvez infos & avis sur une large sélection de DVD & Blu-ray neufs ou d'occasion. Découvrezdes commentaires utiles de client et des classements de commentaires pour Perfect Blue - VF [VHS] sur Amazon.fr. Lisez des commentaires honnêtes et non biaisés sur les Posterof Perfect Blue movie. ID:1221394; Size: from 4x6 to 23x33 inch; Media: Canvas, Glossy, Semiglossy, Matte, Laminated; Price from $1.45; British movie poster image for Perfect Blue (1997). The image measures 600 * 889 pixels and is 139 kilobytes large. SatoshiKon Avec : de casting ! Pas, Stephen Apostolina, Bob Buchholz, Christopher Carroll, Dyanne DiRosario, Don Fischer Genre : Dessin animé. Sorti en 08/09/1999 Durée 01h21 À partir de 12 ans. 3 /5 Donnez votre SatoshiKon : un documentaire sur un maître de l'animation japonaise. Auteur de bandes dessinées, d'une série TV et de quatre longs-métrages (Perfect Blue, Millennium actress, Tokyo Godfathers et Paprika) Satoshi Kon a redéfini le paysage de l'animation Previews. 28/03/2021. The Suicide Squad : première bande-annonce. La première bande-annonce de The Suicide Y1gQ. Fiche News Editions Images Coms1 JP Title パーフェクト・ブル Translated Title Perfect Blue With TAKEUCHI Yoshikazu Traducteur YOUHAT Yacine Publisher FR Ynnis Collection Romans Type Roman Genre Suspense, Thriller Illustration n&b + couleurs Synopsis The color of illusion is Perfect Blue. A retired pop singer turned actress' sense of reality is shaken when she is stalked by an obsessed fan and seemingly a ghost of her past. Cast Crew Details Genres Cast Director Producer Writers Editor Cinematography Art Direction Composer Studios Country Language Alternative Titles Pāfekuto Burū, 藍色恐懼, Истинная грусть, Pafekuto buru, Paafekuto buruu, 蓝色恐惧, The Perfect Blue, 未麻的部屋, 퍼펙트 블루 Genres Themes Intense violence and sexual transgression Horror, the undead and monster classics Thrillers and murder mysteries horror, creepy, eerie, blood or gothic violence, shock, disturbing, brutal or graphic scary, horror, creepy, supernatural or frighten thriller, psychological, suspense, twist or disturbing horror, gory, scary, killing or gruesome Show All… Popular reviews More This review may contain spoilers. I can handle the truth. black swan 2010 was found dead in a ditch darren aronofsky, retire bitch A smart, sexy, and seriously funny comedy!EDIT just finished reading the wikipedia summary. how do i delete this I say this in the most minnesotan way possible oh jeez Imagine your card declines at therapy and they show you this This review may contain spoilers. I can handle the truth. Perfect Blue is a serial killer film, and the killer is patriarchal films mine the tension between one's idealized self and the self one lives in reality to create drama and art*, few so adeptly recognize that for women, both of these sides are controlled by men. Perfect Blue is the story of pop icon Mima who decides to move from singing to acting and takes a minor role in a disgusting procedural show about grisly murders. But decides is intentionally on my part not the correct verb in this instance; the film does not portray it as a decision. In fact, Mima is often shown consenting to something that eventually undermines her own sense of self or… if you can believe it, was pretty confused the first time i saw this! but obviously that’s intentional on the film’s part, the blurriness hooks you in at such a psychological level. so my general reaction was cool, time around, well over a year after my first time, i found myself connecting to this on a much much much deeper level. not just because i knew what i was getting myself into but it’s also just so much more hauntingly realistic than i remember. satoshi kon really is one of the best to ever do it. darren aronofsky really went and based his entire career around perfect blue didn't he from IndieWire's 100 best movies of the '90s Satoshi Kon died from pancreatic cancer in 2010 at the tragically premature age of 46, not only did the film world lose one of its greatest storytellers, it also lost one of its most gifted seers. No one had a more accurate grasp on how the digital age would see fiction and reality bleed into each other on the most private levels of human perception, and all four of the wildly different features that he made in his brief career along with his masterful TV show, “Paranoia Agent” are bound together by a shared preoccupation with the fragility of the self in the shadow of mass media. Kon’s dreamlike work… okay but there honestly wasn't a ton of blue in this movie surprisingly The blurred line between what is real, and what is not. A theme explored in movies such as Repulsion, Belle de Jour, Triangle and Black Swan. A film aspect that's never been a favorite of mine. However, I found the outlier. Perfect Blue hooked me from the opening, and I was on the edge of my seat until the final credits rolled. Perfect Blue is batshit crazy in an eat your heart out Darren Aronofsky type of way. It's the movie Black Swan only wished it could be. It's simply a badass flick with a lot of social commentary on the media, fame and internet usage for dummies circa 1997. At least in my mind it Giallo. Fun… Mentioned by Réalisé avant Paprika, Perfect Blue confirme les ambitions du regretté Satoshi Kon de pousser l'animation à un niveau d'exigence formelle et thématique égal à celui du cinéma live. Dans l'univers de l'animation, Satoshi Kon était peut-être l'un des réalisateurs les plus cinéphiles, son oeuvre révélant un soucis accru et constant de la mise en scène, et notamment un travail méticuleux et ludique du montage. Perfect Blue fait partie de ces animes destinés à un public adulte qui, tout en travaillant de manière particulièrement stylisée la forme, n'en délaissent pas moins le fond chose qui a tendance à discréditer très souvent les mangas japonais auprès de leurs détracteurs les plus virulents. Thriller psychologique sombre et volontiers dérangeant, Perfect Blue suit la descente aux enfers d'une jeune star de la pop qui met fin à sa carrière de chanteuse pour se lancer malgré les réticences de ses collaborateurs dans une carrière d'actrice. Satoshi Kon porte un regard particulièrement pertinent sur le star-system, le culte des célébrités, et le monde de l'image dans la société d'aujourd'hui. Dès lors que Mima devient une personnalité publique par la chanson, elle se trouve dépossédée de son image et de son identité par le public qui se l'approprie. Qui plus est, l'industrie du spectacle joue avec cette image pour créer le désir et la passion, par une mise en scène constante de la star et de son quotidien. De manière très intéressante, dès lors que Mima choisit de reprendre possession sur son image en choisissant d'embrasser une carrière d'actrice, cette décision résonne comme une trahison et un désaveu auprès de ses fans qui la renient. Plus encore, les exigences du milieu la promotion, la pub, les apparitions dans des magazines sont autant de manipulations contraintes de son image, où la star est obligée de se soumettre à des exercices qui font violence à son intimité et qui entrent en contradiction avec sa conscience poser nue pour des photos, ou même tourner une scène de viol pour les besoins d'une série télé de seconde zone. Chez notre adulescente asexuée se crée ainsi une dissociation entre l'image publique liée à son identité de star hyper-sexuée elle devient le support érotique des fantasmes du public et l'image privée d'une femme comme tout le monde qui veut simplement réussir dans sa vie et s'épanouir. Dès lors, Satoshi Kon enclenche une mécanique habilement menée, où il plonge le spectateur dans un chaos d'images mentales, d'hallucinations, de fantasmes, en brouillant perpétuellement par un art du montage bien rodé la frontière mince entre le réel et l'imaginaire. Le résultat tient en haleine sans jamais sombrer dans le grand-guignol. Cette capacité à synthétiser les exigences du cinéma d'auteur avec la simplicité et l'économie propres au cinéma d'animation font des films de Satoshi Kon des modèles du genre qui -nulle doute là dessus- ont inspiré et inspireront encore le cinéma. Si l'on découvrait avec surprise que le coloré et burlesque Paprika annonçait bien avant l'heure l'Inception de Christopher Nolan, Perfect Blue, lui -qui date de 1997 rappelons-le- ressemble à s'y méprendre au récent Black Swan à tel point qu'on se demande s'il n'y a pas plagiat. Fort heureusement, l'art poussif et faussement provoc' d'Aronofsky n'arrive pas à la cheville de l'efficacité coup de poing de Satoshi Kon, artiste trop vite disparu qui nous laisse une poignée de films pleins de promesses avortées pour toujours. Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous Si vous avez raté la projection au festival Les Utopiales à Nantes, vous n’avez pas tout perdu puisque Millennium Actress de Satoshi Kon sera projeté en 4K à partir du 18 décembre un peu partout en France. Mais si vous ne voulez pas attendre, vous avez rendez-vous en novembre pour découvrir Millennium Actress en version restaurée. Le film sera projeté au cinéma les 7 Batignolles à Paris, dans le cadre de ses soirées Japanime le 14 novembre à 20h. Autre date, autre séance avec cette fois un rendez-vous le 29 Novembre à 19h30 pour une double séance avec bien sûr Millennium Actress mais aussi Perfect Blue à 21h40, cette fois c’est au Max Linder Panorama qu’il faudra aller. Synopsis Chiyoko Fujiwara est une ancienne gloire du cinéma japonais. Aujourd’hui, âgée de 70 ans, elle vit recluse chez elle. Un jour, un homme vient lui rendre visite pour l’interviewer sur son passé. Il lui remet une clé, que Chiyoko avait perdu voilà 30 ans. Devant le journaliste et son caméraman elle se met à raconter son histoire. Une vie pleine d’amour et de passion, passée à rechercher un étrange inconnu, celui-là même qui lui a un jour remis cette clé en lui faisant la promesse de se revoir…

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